lundi 3 janvier 2011

Ce qui fera l’actualité Webmarketing en 2011

Pour commencer, nous vous souhaitons une belle et heureuse année 2011. Qu’elle soit pour vous l’occasion de développer votre business sur Internet. Le Webmarketeur sera plus que jamais à vos côtés pour vous accompagner et vous apporter toutes les informations et les actualités nécessaires à votre communication sur Internet. 




Cette année 2010 fut riche en actualités et en découvertes. Mais ne nous attardons pas sur le passé et regardons vite vers l’avenir. Quelles seront les évolutions, les révolutions ou les sociétés de 2011. Voici, pour Le Webmarketeur, les actualités à suivre pour l’année 2011 en Webmarketing.

 
1. Moteur de recherche : la « Taxe Google »

Comme le préconisait le rapport de la commission Zelnik, l’Etat a fait voter fin 2010, une loi taxant les achats d’espaces publicitaires sur les moteurs de recherche et les portails. Cette taxe comprise entre 1 et 2%, a pour but de rééquilibrer les taxes non prélevées sur ces sociétés basées à l’étranger et ne payant pas de TVA sur le territoire Français.

Cependant, le lobby des e-commerçants, Priceminister en tête, n’a pas accepté cette nouvelle taxe qui va être directement reporter sur leur budget de communication. Imaginez une augmentation de votre budget marketing de 2% sans pour autant augmenter vos rentrées de Chiffre d’affaires.

Grâce à cette pression et à celle de plusieurs députés qui « taxent » cette loi d’antiéconimique et d’anticommunautaire, l’application de cette loi a été reportée à juillet 2011 pour laisser le temps de négocier avec les différents acteurs du marché.

Mais après avoir été repoussée, cette loi pourrait bien être rabotée. Eric Besson, nouveau Ministre de l’Industrie en charge de l’économie numérique a demandé la création d’une commission d’acteurs, comprenant Pierre Kosciusko-Morizet, ayant pour objectif de proposer des solutions alternatives.

Cette « taxe Google » pourrait ne jamais voir le jour. Le gouvernement ne veut pas lâcher du leste dans la taxation des géants du web qui profite du réseau sans contribuer à son développement.

2. Les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Diaspora… Ca va bouger en 2011 ?

Depuis 2007 nous entendons tous parler de la fameuse IPO de Facebook. 2011 sera-t-elle l’année de l’introduction en bourse de Facebook ? Je ne pense pas. Facebook a trouvé son model de rémunération, et a aujourd’hui une position hégémonique. Mark Zuckerberg n’a pas l’intention de vendre son entreprise. Ils n’ont pas besoin d’être en bourse pour attirer les investisseurs. Rien qu’aujourd’hui, Goldman Sachs a investi 450 millions de $ dans Facebook.

Twitter a connu en 2010 une année d’explosion. Toujours à la recherche d’un modèle de rémunération stable, le réseau de microbloging ne devrait pas connaître une révolution en 2011. Twitter devrait continuer son ascension et proposer de nouvelles solutions de communication publicitaire.

Enfin Diaspora qui vient de lancer sa version Alpha sera peut être le réseau social de 2011. Après avoir beaucoup fait parlé en 2010, nous attendons tous de voir ce que pourra offrir ce nouveau réseau social « éthique ».

Mise à part les changements d’interface que nous propose Facebook chaque année, il ne devrait pas y avoir de révolution sur les réseaux sociaux en 2011. Les règles de communication ont été posées en 2010 et les marques vont tout donner pour gagner en notoriété et développer leur communication sur ces plateformes.

3. Le mobile : l’explosion des tablettes tactiles

Apple a ouvert la voie avec l’iPad. Samsung a suivi avec la Galaxy Tab. Motorola XOOM, BenQ, HTC Sribe, BlackBerry PlayBook… Voici quelques tablettes tactiles qui devraient voir le jour en 2011. La réponse à Apple des fabricants a été beaucoup plus rapide que pour iPhone. La plupart de ses nouvelles tablettes seront sous un environnement Android. Reste à savoir quelles offres nous proposerons les opérateurs mobiles.

4. Technologie : la prise de pouvoir du HTML 5 et du CSS 3

Ces deux nouvelles technologies sont déjà mise en place depuis plusieurs mois et offrent enfin une compatibilité sur l’ensemble des supports (mobile, Mac, Windows, Linux..). Les supports devraient finir de migrer afin d’accueillir cette nouvelle technologie. Windows Mobile 7 devrait être opérationnel pour Juillet 2011 (déjà disponible sur iPhone depuis Janvier 2010).

Cette nouvelle technologie propose des avancées considérables dans l’interactivité. Les moteurs de recherche prennent déjà en compte certaines nouvelles balises de localisation du contenu. Il est donc temps pour vous en 2011 de migrer votre site sur HTML 5 si ce n’est pas déjà fait.

5. Publicité Online : vers la régionalisation

Beaucoup d’offres ont vu le jour en 2010 proposant de la bannière display géolocalisée. Suivant l’offre de Google, les régies ont trouvé de nouveaux annonceurs, beaucoup moins regardant sur les tarifs négociés, et leurs proposent de prendre la parole localement.

C’est une grande avancée pour les PME / PMI, qui auront de nouvelles opportunités de conquêtes, autres que les canaux de communication historiques (presse locale, affichage, mailing…)

2011 sera l’année du rapprochement des marques avec les internautes. Les réseaux sociaux, la régionalisation offriront de nouvelles perspectives de communication avec les clients / prospects.

Mais comme toujours sur Internet, il est très difficile de faire des prédictions sur le marché. Les acteurs nous réservent surement quelques belles surprises. 2009 a été une année de crise. 2010 a été une année de consolidation. 2011 sera peut être une année de reprise… enfin espérons le !

Source : (http://www.le-webmarketeur.com/)

Paypal a bloqué le compte de WikiLeaks !!

Le service de paiement en ligne PayPal a décidé de bloquer le compte de WikiLeaks suite à une prise de position du gouvernement américain qualifiant d'"illégales" les activités aux Etats-Unis de ce site de révélations, a indiqué aujourd'hui son vice-président, Osama Bedier.

Suite à des rumeurs faisant état de pressions américaines sur Paypal, l'administration américaine a tenu pour sa part à préciser mercredi qu'elle n'avait jamais adressé directement une lettre à Paypal demandant une quelconque action au sujet de WikiLeaks.


Le 27 novembre, le département d'Etat (ministère des affaires étrangères), "a écrit une lettre disant que les activités de WikiLeaks étaient considérées comme illégales aux Etats-Unis", déclare M. Bedier dans une vidéo disponible mercredi sur le site de plusieurs médias.


"En conséquence, nos contrôleurs internes ont dû prendre la décision de suspendre le compte de WikiLeaks et en ont informé le détenteur", poursuit M. Bedier, qui intervenait de Paris depuis un salon consacré à l'internet. Le département d'Etat a de son côté affirmé mercredi n'avoir jamais demandé quoi que ce soit à Paypal contre WikiLeaks.


"Le gouvernement américain n'a pas écrit à Paypal pour lui demander une quelconque action au sujet de WikiLeaks. Ce n'est pas vrai", a affirmé un porte-parole du Département d'Etat sur Twitter.


Un porte-parole de Paypal a précisé à l'AFP que c'est "sur la base de la position du gouvernement américain et en aucun cas sur la base d'un courrier directement adressé à Paypal que l'équipe qui gère les considérations générales d'utilisation des comptes Paypal a gelé le compte de Wikileaks".


"Il s'agit d'un gel, pas d'une confiscation", a assuré ce porte-parole du site de paiement en France, Marc Jaugey. Cette suspension durerait "180 jours maximum". Si aucune décision de justice ne vient confirmer le caractère illégal de Wikileaks, le compte sera réactivé, d'après ce porte-parole.


Les Etats-Unis et d'autres gouvernements ont affirmé que la divulgation des notes diplomatiques américaines par WikiLeaks enfreignait la loi de leurs pays.

Source : (http://www.lefigaro.fr/)

Le e-commerce en Norvège et en France

Internet est sans conteste un outil essentiel du système économique globalisé. Les différentes plateformes, canaux et média qui ont émergés facilitent grandement le commerce et la vente au détail en ligne. On parle alors de commerce électronique ou e-commerce. Le plus souvent, il s’agit de la vente et de l’achat de biens et de services par le réseau internet.




En France comme en Norvège, le commerce électronique est en forte augmentation. L’e-commerce est un des marchés les plus dynamiques dans toute l’Europe et le restera en 2011. En 2003, le commerce en ligne représentait une valeur de 44,7 milliards d’euros de chiffre d’affaire dans la zone européeenne. Celle-ci est passée à 143,7 milliards d’euros en 2008, soit une augmentation de 221%. Malgré la conjoncture de 2009, l’e-commerce a continué d’enregistrer des performances excellentes avec une croissance de 22% ce qui équivaut à 4,7% du commerce de détail en Europe.

Ce dossier à pour but de mettre en évidence les tendances du e-commerce dans les deux pays pour mieux les comparer et voir le potentiel de commerce en France et en Norvège. Dans les deux pays, le e-commerce représente une réelle opportunité de développement pour les entreprises puisqu’il permet d’ajouter un canal de distribution complémentaire aux circuits traditionnels.

EN FRANCE

En 2009, le marché français du e-commerce était l’un des marchés les plus dynamiques d’Europe avec près de 24,7 milliards d’euros de chiffre d’affaire et on attend un chiffre de 36,6 milliards en 2011. Les acheteurs français sur Internet ont dépensé en moyenne 995 euros en 2009 pour un prix moyen de 50 euros par produit. En Norvège, le budget moyen par acheteur en ligne fut de 1102 euros pour la même année. Dans les deux pays, le marché reste dominé par des généralistes qui recourent à l’offre de commerçant tiers tels qu’E-bay, Priceminister, Amazon. Un site français tel que Pixmania a réussi son implantation avec son site Internet traduit en norvégien.

Ces leaders sont difficiles à concurrencer pour les PME présentes sur le marché, toujours à la recherche de relais de croissance. Nombreux sont les distributeurs traditionnels qui n’ont toujours pas de site Internet de vente en ligne (H&M, Jardiland…) malgré les avantages concurrentiels non négligeables dont ils disposent (notoriété, taille de leur réseau et de leur centrale d’achat...).

En France comme dans de nombreux autres pays, face à la crise et aux préoccupations environnementales et sociales, le « consommer responsable » est devenu plus qu’une mode. En effet, pour 75% des Français, le développement durable est une nécessité ! 58% des Français affirment avoir acheté au moins un produit bio dans les 3 derniers mois et 52% un produit équitable.

L’e-commerce équitable est un créneau porteur qui a tout à gagner d’une présence sur le web. Certains sites de grands distributeurs comme houra.fr se positionnent déjà sur le créneau bio.

D’autres acteurs tirent leur épingle du jeu comme consoglobe.com, leader de l’info et de la consommation écolo sur le web. La toile a donc tout intérêt à refléter cette tendance étant donné le fait que le développement durable et Internet laissent plus de place à un esprit participatif.

EN NORVÈGE

La Norvège est un des pays de l’OCDE qui a le mieux résisté à la crise financière. Les perspectives de croissance sont bonnes avec +2,7% en 2011 et une faible augmentation du taux de chômage devrait resté inférieur à 4%. La situation budgétaire favorable à la Norvège lui a permis de stimuler massivement l’activité. Le gouvernement norvégien a lancé le projet eNorway2009 dont l’un des objectifs est l’innovation et la croissance dans le business et l’industrie par les TICs.

Le secteur du e-commerce est en pleine expansion dans le pays : en 2005, il représentait seulement 8% du chiffre d’affaire des entreprises contre 22% en 2008.

En 2009, 63% des ménages norvégiens ont acheté des produits sur Internet. La Norvège est l’un des pays où la dépense moyenne par habitant est des plus élevées avec 694 euros. C’est près du double de la moyenne européenne qui est de 358 euros. La Norvège se place au dixième rang européen en terme de vente en ligne totales, cependant, elle dispose d’un prix moyen par produit acheté nettement plus élevé que ses voisins avec 85 euros.

Les cyberacheteurs sont beaucoup plus nombreux dans le Nord de l’Europe car le taux de connexion y est bien plus élevé que dans le reste du continent. En Norvège, 73% des foyers sont dotés du haut débit et pas moins de 84% sont reliés à Internet !

La quasi-totalité des foyers comptant au moins un enfant possède un ordinateur et il y a plus d’abonnements téléphoniques que d’habitants. Parmi les entreprises de plus de 10 employés, 8 sur 10 ont désormais accès à Internet, contre 4 sur 10 en 1998.

La confiance envers le paiement en ligne est aujourd’hui acquise par le biais de paiements électroniques sécurisés. Chaque consommateur du système bancaire par Internet reçoit sa propre identité bancaire pour assurer une identification en ligne sécurisée.

Même si la Norvège n’est pas membre de l’Union européenne, son secteur de télécommunication est synchronisé avec la législation européenne correspondante. La loi norvégienne sur l’e-commerce est entrée en vigueur le 1er juillet 2003. Elle reprend essentiellement les dispositions relatives au marché intérieur permettant au citoyen et aux fournisseurs norvégiens, tout comme dans le reste de l’Union Européenne de profiter des opportunités offertes par le commerce électronique.

Notez toutefois que si vous souhaitez créer un nom de domaine en .no, la loi sur le droit de rétractation norvégien s’applique alors. En effet, la loi norvégienne diffère de la loi française en ce qui concerne les droits des consommateurs. La particularité de la Norvège est qu’elle protège plus l’acheteur que la France dans le domaine de la vente à distance. En France, le Code de la Consommation dispose que le consommateur a d’un délai de sept jours francs pour exercer son droit de rétractation. Dans la loi équivalente norvégienne le droit de rétractation est de 14 jours (qui peut s’élargir à 3 mois ou un an dans certains cas).

UN SECTEUR AUX OPPORTUNITÉS MULTIPLES

L’e-commerce continue de gagner des parts de marché malgré un contexte économique difficile. A titre d’exemple, actuellement, les secteurs les plus porteurs en France sont l’optique, l’électronique grand public et les arts de la table. La marge de progression reste donc énorme, et offre des opportunités de développement très attractives pour les distributeurs les plus présents.

Une telle vitalité s’explique non seulement par la hausse de la population de cyber-acheteurs (elle augmente trois fois plus vite que la population d’internautes) mais également par un effet d’offre, aussi bien quantitatif (le nombre de sites marchands est en très forte augmentation) que qualitatif (des concepts innovants). Les prévisions pour l’année 2010 montrent que le commerce de détail en Europe devrait augmenter de seulement 1,4% alors que les ventes en ligne devraient enregistrer une croissance de près de 20% en Europe. On parle de 16% en France.Des taux très élevés sont notamment attendus en Norvège avec un taux de croissance des ventes en ligne de 21%.

Au niveau mondial, on estimait en 2009 que le commerce de détail sur Internet passerait de 68 milliards d’euros cette année là à 114 milliards d’ici 2014. Les possibilités de croissance sont encore nombreuses avec notamment l’Internet mobile. Une enquête a montré qu’en 2009 12,2% de la population en Norvège accède à Internet via leur téléphone portable chaque semaine et 5,6% tous les jours. Les entreprises ainsi que les utilisateurs se connectent de plus en plus à Internet à travers leur portable et ce chiffre n’est pas prêt de s’arrêter d’augmenter.

En France comme en Norvège, il existe donc un fort potentiel dans le secteur du e-commerce. Les deux pays offrent de nombreuses opportunités notamment pour les concepts les plus innovants.

Source : (http://www.francemondexpress.fr/)

PayPal va participer à un centre d'e-commerce au coeur de la Chine

Le service de paiement en ligne basé aux Etats-Unis PayPal, filiale du groupe eBay, a signé un accord avec la mégalopole chinoise de Chongqing pour y développer une grande plate-forme de paiements internationaux en ligne.

Dans un communiqué commun avec PayPal, le maire de la ville, Huang Qifan, a dit espérer que cet accord permette à Chongqing de devenir le principal centre en Chine pour les transactions de l'e-commerce.



La Chine compte le plus grand nombre d'internautes au monde et l'e-commerce y est florissant, les experts prévoyant une très forte progression de ce secteur ces prochaines années.

Selon le cabinet d'études Analysys International, le volume des transactions en ligne en Chine a atteint 725,5 milliards de yuans (83,4 milliards d'euros) pour les neuf premiers mois de 2010.

Chongqing, une municipalité au rang de province bâtie au bord du Yangzi (fleuve Bleu), est l?une des villes qui croît le plus vite au monde, depuis que les dirigeants chinois ont décidé d'en faire un pôle économique majeur de la Chine intérieure.

Avec ses plus de 31 millions d'habitants, Chongqing est parfois présentée comme la plus grande ville du monde, même si sa superficie compte une bonne part de campagnes.

Source : (http://www.google.com/)

Don Dali : Imaginez avec un nombre de 420 millions d'internautes, qu'est ce que la Chine pourrait réaliser comme un chiffre d'affaire en commerce électronique.

Alibaba invité à retirer de la vente les étuis pour iPad 2G

Alibaba a été invité à retirer les fiches produits d'étuis conçus soi-disant pour l'iPad 2. Le site d'e-commerce a rapidement obtempéré, mais a refusé de dévoiler le nom du donneur d'ordre.





Le porte-parole de ce site chinois, John Spelich, reste assez flou sur le sujet. Il indique avoir reçu une demande expresse de retirer ces produits de la vente sans toutefois préciser l'auteur de cette requête. Est-ce Apple ou un de ses partenaires ? Toute la question est là ! D'autre part, il se garde bien entendu de dire si ce sont de véritables étuis pour l'iPad 2G.  


Le WSJ à l'origine de cette révélation, a tenté d'interroger plusieurs des entreprises qui vendaient ces produits sur Alibaba. Tous ont refusé de répondre, à l'exception d'un employé de Fullchance Industrial, qui affirme travailler de concert avec Foxconn, la société en charge de la production de l'iPad. La personne en question a fait savoir que le design de ses produits était "extrêmement précis". De son côté, Foxconn a indiqué n'avoir aucun lien avec les annonces relatives à l'iPad 2 publiées sur Alibaba.

Il est à noter que le site 9to5mac a également été contraint de retirer plusieurs dessins montrant un moule de housse pour iPad 2 (lire : iPad 2 : encore plus de rumeurs. Outre la présence de deux webcams, ce nouvel iPad aurait des bords plus affinés. Le dos serait également toujours arrondi avec un centre plus épais que les bords. 


Enfin, il serait plus fin et doté d'un port (mystérieux) supplémentaire. 

Source : (http://www.igeneration.fr/)

Comment améliorer les ventes de votre boutique en ligne

Le marché du e-commerce est en constante évolution : les acteurs sont nombreux et les consommateurs de plus en plus exigeants.

Les sociétés de vente en ligne ont généré plus de 20 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2008 et plus de 32 milliards d’euros sont estimés en 2010 et ce, grâce aux 8 français sur 10 qui achètent à distance.

Il est donc indispensable que les sites marchands soient toujours préparés à une montée en charge, notamment au moment des soldes et des fêtes de fin d’année, pour éviter de perdre des parts de marché, pour des raisons liées principalement à la disponibilité du site WEB (mauvais temps de réponse, site indisponible). Toute société de vente à distance le sait : une seule expérience négative et le consommateur se tourne vers la concurrence. Le taux d’attente acceptable tournant autour de 2 secondes !

La mesure de la performance à mettre en oeuvre

Dans ce contexte fortement concurrentiel, où un site marchand se crée toute les heures en France, la performance des sites Web est devenue l’un des leviers majeurs pour assurer la fidélisation des consommateurs.

La difficulté pour les sociétés de vente à distance est d’anticiper ces montées en charge en testant les performances du site, mais la mesure de la performance se fait en condition réelle avec un outillage et une expertise adaptée…

Une réponse concrète : Performance e-commerce

La solution Performance E-COMMERCE de SCOPTEAM a été mise au point suite à la réalisation de nombreux projets de montées en charge de site web associée à une forte compétence technique sur ces plateformes spécifiques.

Pour simuler la charge réelle et donc mesurer les temps de réponses constatés par l’internaute, l’« injection » de la charge est réalisée à distance. Cela permet de tester l’intégralité de la plateforme e-commerce devant supporter cette charge (routeur, load-balancer, …). Cette injection ne nécessite aucune installation sur le site d’hébergement du site marchand. Ces projets peuvent être pilotés chez le client, chez l’hébergeur, chez Scopteam, via le Centre Service Testing (CST).

Pour permettre une analyse « Online » fiable indispensable pour ce type de projet, SCOPTEAM apporte une vision complète de la plateforme e-commerce : activité des serveurs d’application, de base de données, des composants web Services.

Cette solution « Clé en main » intègre l’outillage spécifique loué uniquement sur la durée du projet, un engagement au forfait, la fourniture de la plateforme technique pour injecter sur un site distant (hébergeur).

Une méthodologie du test de performance approuvée

Avec nos consultants spécialisés e-commerce nous avons élaboré une méthodologie que nos experts appliquent avec succès chez l’ensemble de nos clients :
  • La mise en place d’une stratégie adaptée à votre application et à votre environnement (objectifs, planning, définition du plan de test) et composée de 10 étapes 
  • L’accès à une plate-forme technique dédiée et aux outils de test adaptés au e-commerce
  • La mise en œuvre du plan de test (création et exécution des scripts et des scénarii)
  • L’analyse de votre test de charge 
  • La synthèse et les préconisations afin d’optimiser les temps de réponse



A propos de Scopteam

Créée en 2001, Scopteam est une SSII spécialisée dans le test et disposant d’une expertise pointue autour des tests de performance.

En 2005, Scopteam a rejoint Metaware et enrichi son offre historique autour des tests de performance, des compétences et savoir-faire du groupe développés autour de l’industrialisation des tests fonctionnels.

Concentrée exclusivement sur le métier du test, Scopteam est aujourd’hui l’une des premières SSII spécialisées dans le domaine en France, avec un pool de Consultants dédiés lui permettant d’intervenir dans la plupart des environnements et sur la plupart des plateformes technologiques.

Source : (http://www.communique-de-presse-gratuit.com/)


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