vendredi 10 décembre 2010

E-commerce : l'avenir n'est plus à la meilleure visibilité sur le net

La seconde édition du Totec (tourism & technology conférence ) organisé par Eventiz avec le soutien de Sabre et Accovia entre autres avait pour thème l’homme au cœur des technologies. Un scénario de l’avenir proche qui promet un univers simplifié par l’omniprésence de la technologie.


Parmi les intervenants, Catherine Barba, présidente de Malinea, a planché sur le thème surprenant : est-ce la fin de l’e-commerce ?.

Celle qui se qualifie comme la « 
mamie du web » avec une expérience de quinze années passées dans diverses entreprises à réfléchir et concevoir des produits internet - elle a notamment participé à la montée en puissance du site de rencontres Meetic - a une position bien tranchée sur l’e commerce.

Alors que nombre de prestataires du tourisme cherchent encore la meilleure solution pour avoir le positionnement le plus visible sur le net, Catherine Barba estime que cette action n‘est plus la bonne. «
 L’e commerce tel qu’il se pratique aujourd’hui, c’est dépassé », assène-t-elle.

« 
Aujourd’hui, ce n’est plus l’emplacement qui compte, c’est l’offre ». Et « la mamie du web » d’expliquer que les internautes sont aujourd’hui suffisamment au fait de la technologie pour trouver le produit qu’ils recherchent.


Les entreprises doivent faire un vrai travail sur l’offre

 

D’autant que l’élément déterminant est aujourd’hui le tuyau, l’avis partagé au travers des réseaux sociaux.

Les entreprises doivent donc faire un vrai travail sur l’offre qui doit être percutante. Elles doivent aussi se construire un avantage concurrentiel par le produit et/ou par le prix, et/ou par le service. Elles doivent enfin se positionner sur un segment et un cible déterminés.


Mais pour ce faire, il faut connaître ses clients pour pouvoir être en empathie avec eux. Connaître leurs attentes et leurs peurs. « Tout se teste, tout se mesure. Il faut appréhender son e commerce tel un pilote dans son cockpit ».


Bref, innover en e-commerce c’est aimer ce qui est nouveau, oser se remettre en question, être en rupture. Et conclut Catherine Barba : « En 2020, il ne restera que ceux qui auront trouvé la différentiation ». 

 
Source : (http://www.tourmag.com/)

Don Dali : Ça ne suffit pas d'être présent sur le net, l'important c'est de faire l'offre qui convient aux clients.

Tunisie : Le e-commerce en textile-habillement, un outil d’innovation et de croissance

Un séminaire d’information sur "le e-commerce textile-habillement : Outil d’innovation & de croissance" a été organisé, jeudi 9 décembre 2010, par le Cettex à son siège en collaboration avec l’Ecole française de mode, en présence de Afif Chelbi, ministre de l’Industrie et de la Technologie.

La manifestation s’est axée sur deux thématiques : l’état des lieux du e-commerce en textile-habillement à l’échelle mondiale puis l’e-commerce en Tunisie.

 
Afif Chelbi a mis en relief l’importance du secteur du textile-habillement dans le tissu industriel tunisien. En effet, ce secteur englobe plus de 2.000 entreprises procurant 200.000 emplois. Il représente, à lui seul, 35% des entreprises et 40% des emplois de l’ensemble des industries manufacturières.
Après 2009 qui a été marquée par les effets de la crise économique, ce secteur affiche des signes de reprise. Pour les onze premiers mois de l’année 2010 en cours, il enregistre une progression des exportations de 6,5% en comparaison avec la même période 2009.

Orienté vers l’exportation, le textile-habillement est, par conséquent, très sensible à la conjoncture internationale. C’est pour cette raison qu’il doit faire preuve de vigilance, de dynamisme et de vision prospective afin de saisir toute les opportunités. A cet égard, ce secteur est le grand bénéficiaire du programme de mise à niveau et celui des investissements technologiques prioritaires avec respectivement 1507 et 1951 dossiers approuvés, soit 45 % et 43% des approbations de l'ensemble de l'industrie manufacturière depuis le début de ces deux programmes.

Le ministre a indiqué que «la dématérialisation des transactions, le développement de l’Internet et du commerce électronique plus particulièrement constituent des évolutions importantes auxquelles le secteur tunisien du textile-habillement est appelé à s’adapter et à tirer le meilleure profit». Il a souligné que ce secteur est en déficit de communication, la majorité des entreprises ne disposant pas d'une fonction marketing et commerciale structurée. En effet, seulement 120 entreprises disposent d'un site web dont un seul site marchand, ce qui revient à dire que plus de 1.900 entreprises du secteur sont invisibles sur le réseau d’Internet.

Héchmi Koôli, vice-président de la Fenatex (Utica), a expliqué, quant-à-lui, qu’Internet est un outil efficace permettant d’élargir le marché et de répondre aux besoins des clients.

Anthoni Noyon, directeur général de Sofracs et dont son agence a créé 200 sites marchands, a indiqué que le chiffre d’affaires de la vente en ligne a quasiment triplé entre 2004 et 2009 en France. Les ventes d'habillement en ligne ont progressé de 21% par rapport aux douze mois précédents, tandis que la consommation totale d'habillement a régressé de 3,9%.

M. Noyon considère que le e-commerce propose de grandes opportunités sur le marché domestique mais aussi a l’export, sur toute l’Union européenne par le biais d’un site marchand et que les Tunisiens devraient saisir cette opportunité.

Taoufik Thamri, chef du département Tic-Cettex, a, pour sa part, précisé que les statistiques montrent que le commerce électronique en Tunisie reste un secteur peu développé malgré son lancement depuis plus de 12 ans.


En effet, le nombre des sites web tunisiens, tous secteurs confondus, n’est que de 11.314, alors que les boutiques en ligne sont au nombre de 400 et seulement 142 entreprises se dotent de leurs sites marchands. Le secteur compte environ 120 sites vitrines (un seul site marchand) sur le total des 2.049 entreprises qui le composent.

M. Thamri a expliqué que les Tunisiens sont nombreux à être connectés à l’Internet mais peu d’entre eux sont confiants face aux sites de e-commerce locaux. Ils sont réticents pour le paiement par carte bancaire et jugent l’e-dinar fastidieux quant à la longueur de sa procédure d’obtention. Ils préfèrent toujours toucher le produit qu’ils vont payer pour, s’assurer de sa qualité, se convaincre de sa fiabilité, et surtout négocier le prix. Ainsi, le contact direct avec le vendeur est essentiel pour un consommateur tunisien.

En contre partie, les entreprises sont peu conscientes face aux opportunités et avantages qu’offre le secteur e-commerce et ne s’investissent pas réellement dans ce sens.

Taoufik Thamri note que la Tunisie est légèrement mieux placée que ses voisins maghrébins en matière de e-commerce. Mais qu’elle est en retard par rapport aux pays européens et à ses concurrents d’Asie Pacifique. D’où l’importance de s’aligner sur la concurrence et de miser sur ce nouveau moyen.

Source : (http://www.businessnews.com.tn/)

Don Dali : C'est important pour le textile-habillement de marquer sa présence dans le E-commerce. Mais la question qui se pose, est-ce que les sociétés Tunisienne ont elles prêtes à essayer ?

France : Le marché de l'idée cadeau bouillonne sur Internet

Plus de 15 millions de Français ont l'intention d'acheter leurs cadeaux de Noël en ligne. Des dépenses qui devraient atteindre 6 milliards d'euros. Les sites d'e-commerce fourbissent leurs armes pour appâter cette clientèle. 



La course folle des achats de Noël ne fait que commencer. A en croire une étude Ipsos réalisée pour le Conseil national des centres commerciaux (CNCC)*, 54% des Français envisagent d'acheter leurs cadeaux dans la quinzaine précédent Noël. Seuls 15% des sondés ont anticipé les fêtes en effectuant leurs achats plus d'un mois avant, tandis que près de huit consommateurs sur dix (78%) font des repérages. Au total,15,2 millions de Français achèteront leurs cadeaux en ligne, selon une autre étude publiée par la Fédération de l'e-commerce et de la vente à distance (Fevad) et Médiamétrie. Les internautes devraient ainsi dépenser cette année 5,9 milliards d'euros sur Internet à l'occasion des fêtes de Noël, a calculé l'institut YouGov pour le compte de Symantec. Ils devraient investir 238,05 euros chacun en moyenne rien que pour les achats en ligne. 

Au total, 15,2 millions de Français achèteront leurs cadeaux en ligne, selon une autre étude publiée par la Fédération de l'e-commerce et de la vente à distance (Fevad) et Médiamétrie

Pour attirer ces consommateurs en quête de l'achat malin et à petit prix, les sites de commerce en ligne fourbissent leurs armes. D'autant plus que Noël est la période la plus faste de l'année pour les acteurs de l'e-commerce. Depuis le début du mois de novembre, leurs ventes ont déjà augmenté de plus de 20%, selon la Fevad. Certains misent sur le service, à l'instar de Pixmania, le spécialiste de la vente en ligne de produits électroniques grand public, qui a créé une boutique de Noël accessible depuis son propre site. Cet espace dédié, ouvert jusqu'au 26 décembre 2010, met à la disposition des internautes un moteur de recherche qui leur permet d'identifier les cadeaux les plus adaptés à leurs destinataires.

Un site communautaire pour échanger des idées cadeaux

Même stratégie pour le groupe 3 Suisses, qui promet de faciliter le choix des cadeaux de Noël grâce à son site Lecadeauidéal.fr, lancé le 16 novembre dernier. Là encore, un moteur de recherche guide les internautes à travers l'impressionnant catalogue de l'enseigne. L'idée cadeau est un marché en pleine ébullition sur la Toile et les sites qui ont en fait leur spécialité, comme cadeaux.com et trouversoncadeau.com, pullulent. Dans cet environnement extrêmement compétitif, un nouveau site tente de trouver sa place. Ouvert au public depuis le 25 octobre 2010, Wigift.com «n'est ni un moteur de recherche, ni un catalogue commercial en ligne», souligne son fondateur, Alexis Deneux. 

Le site Wigift.com propose à ses membres d'échanger des idées cadeaux

«Il s'agit d'une plateforme communautaire qui permet aux membres de proposer et d'échanger des idées cadeaux.» Il est également possible de se connecter à Facebook sur ce site, ce qui permet à ses membres de rapatrier facilement leurs réseaux d'amis. L'inscription à Wigift.com, qui compte près de 1000 membres aujourd'hui, est gratuite. Et si le site n'a pas vocation à vendre des produits en ligne, il espère à terme monétiser certains services, en proposant, par exemple, des coupons cadeaux avec des enseignes partenaires, un comparateur de prix ou une indication de magasins où les produits désirés sont disponibles. 

La publicité pourrait aussi faire son apparition. «Toutes les options sont ouvertes et des négociations avec de potentiels partenaires sont en cours, sachant que notre priorité restera toujours de conserver l'aspect convivial et pratique de Wigift.com», affirme son fondateur. 

Sondage réalisé par Ipsos entre le 26 et le 30 novembre auprès d'un échantillon de 1010 personnes âgées de 16 ans et plus représentatives de la population française, suivant la méthode des quotas.

Source : (http://www.lefigaro.fr/)

Don Dali : Noël, c'est l'occasion idéale pour vendre en ligne mais cela ne s'arrête pas ici!! Il faut aussi préparer une stratégie dédiée aux réseaux sociaux tels que le Facbook, Twitter ou même les sites communautaires personalisés comme : Wigift.com

E-commerce : Google fait ses premiers pas dans l’univers de la mode

Google veut nous donner la fièvre acheteuse. La firme de Mountain View veut rentabiliser le rachat du moteur de recherche visuelle Like.com dédié au shopping, effectué cet été. A cet effet, Google vient de lancer aux États-Unis une version bêta de son nouveau site de mode féminine Boutiques.com.







Avec ce portail, le groupe Internet mise sur le shopping personnalisé en ligne, pour habiller les femmes de la tête au pied, en proposant du prêt-à-porter, des chaussures, des sacs à main et des accessoires issus de ses sites de shopping partenaires. Boutiques.com se base en partie sur le mode de fonctionnement de Like.com, en faisant appel à des filtres de recherche avancée et à l’analyse d’images par ordinateur pour proposer des articles de prêt-à-porter.

Like.com : boutique en ligne dédiée au shopping

 Source : (http://www.linformatique.org/)

Don Dali : Les premiers pas pour Google dans le E-commerce, se sont débutés à travers le shopping féminin...

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