samedi 27 novembre 2010

Tunisie : Le Web Marketing en débat au siège des Patrons tunisiens

Sous le thème « Le Web Marketing et son rôle dans la promotion des produits Tunisiens sur Internet »,  la Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis organise, sous l’égide du Ministère du Commerce et de l’Artisanat et en collaboration avec l’Union Régionale de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat de Tunis, un séminaire le Mardi 21 Décembre 2010, au siège de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA).

 


Ce séminaire vise à vulgariser la technique du marketing à travers le web en tant que stratégie adoptée par l’entreprise en vue de garantir une présence plus accrue dans le réseau économique mondial et gagner le pari de la compétitivité.

Le programme comportera cinq volets :

1- Le Cadre Général et la stratégie de l’économie immatérielle
2- Avoir une stratégie Internet avant de communiquer sur Internet
3- Les techniques du Web Marketing et leurs utilités dans le cadre d’une stratégie Web
4- Les moyens de prospection sur Internet
5- Les expériences dans le domaine du web marketing


Source : (http://tunisiait.com/)

Tunisie : Vers une administration électronique plus moderne

L’élaboration des projets de loi portant sur l'échange des données par l'usage des technologies de l'information et de la communication et instituer le cadre juridique de la mise en ligne des marchés publics et des Archives nationales étaient parmi les principaux mesures présidentielles décidées lors du conseil ministériel réuni le vendredi 27 novembre 2010.

 

Toujours dans le souci de moderniser l’administration publique, d’autres mesures ont été prises telles que :
  •  La mise à niveau de l'infrastructure de base de la communication par le parachèvement du dispositif de "l'intranet dans l'administration" et du dispositif de "l'administration intégrée".
  •  Parachever le maillage de l'ensemble des structures publiques du Grand Tunis avant la fin de l'année 2011.
  •  Parachever la connexion de toutes les structures au niveau régional avant la fin de l'année 2014.
  •  Etablir un calendrier pour mettre en ligne 200 nouveaux services avant la fin de 2014.
  •  Actualiser et évaluer, périodiquement, les sites web.

Source : (http://tunisiait.com/)

France : Le e-commerce ne sera pas taxé, la publicité en ligne oui!

Tandis que le projet de taxe sur la publicité en ligne était adopté, celui de la taxe e-commerce était étouffée dans l'œuf mardi dernier. Retour sur un débat plutôt houleux qui s'est déroulé mardi dernier devant le Sénat.





Evaluée à une recette se situant entre 400 et 500 millions d'€uros par le rapporteur du budget, Philippe Marini, le projet prévoyait de taxer à 0,5% toute transaction réalisée en ligne entre entreprises. Philippe Marini a dû retirer son amendement devant un Sénat éberlué par la mesure et par les chiffres présentés. Ce dernier ne s'en laisse pas compter, il lui a été promis la création d'un groupe de travail sur le sujet.
Il est vrai que la taxe e-commerce à son origine, devait permettre la mise sur un pied d'égalité des grandes surfaces commerciales en ligne( telles Pixmania, Price Minister, Mistergooddeal, ou encore Amazon,etc.) avec leurs homologues qui ont pignon-sur-rue.

Cependant, celle qui a été adoptée en première lecture consiste en un prélèvement à la source de 1% sur la totalité des investissements réalisés par les annonceurs en termes d'achat d'espaces publicitaires en ligne. Censée rapporter 10 à 20 millions d'€uros, cette taxe sur la publicité en ligne a pour but premier de rééquilibrer le marché de la publicité online dont le leader incontesté reste Google.

L'application de cette taxe n'est pas sans soulever de nouvelles problématiques. La crainte est surtout au renforcement des inégalités entre entreprises tricolores et grands groupes américains, à la "délocalistation" des achats d'espaces hors du territoire et à la difficulté croissante d'attirer les annonceurs étrangers.
Celle-ci entrera en vigueur comme la plupart des mesures du projet de loi de finances à compter du 1er janvier 2011.

Source : (http://www.fonds-commerce-magazine.fr/)

E-commerce et commerce traditionnel, comment s’adapter ?

E-commerce et commerce traditionnel, complémentaires, opposés ou simplement différents ? Une question qu’on se pose depuis l’apparition du e-commerce au Maroc. Ce mode de vente simple et pratique a réussi en une période assez courte à détrôner le réseau de distribution traditionnel dans différents pays.


Depuis quelques années, le e-commearce fait déjà quelques millions d’adeptes de par le monde, entre le Maroc et les différents autres pays. Si on prend le cas des paiements par carte bancaire au Maroc, et d’après les sites de Maroc Télécommerce, les chiffres sont largement satisfaisants, puisqu’ils ont atteint 85,5 millions de DH au 3ème Trimestre 2010. Une progression de 24% par rapport au 2ème de la même année ce qui induit une augmentation des transactions réalisés de 9000 transactions en 2008 à 200000 transactions en 2010. Des chiffres certes très intéressants pour le e-commerce mais qui influencent dans certains cas le commerce traditionnel. Alors, comment le réseau de commerce traditionnel peut s’adapter rester pour pouvoir rester compétitif face à Internet et aux nouvelles technologies ?

Manque de temps chez les consommateurs, prix imbattables sur les sites, rapidité et facilité d’achat et beaucoup d’autres arguments font que les consommateurs préfèrent de plus en plus se tourner de plus en plus vers l’achat via Internet, et à choisir la vente en ligne. Derrière tout cela, les deux piliers du commerce (e-commerce et le réseau de distribution traditionnel) ont mis en place leurs stratégies de vente.

Suite à cette évolution, tous les secteurs se sont mis en garde vis-à-vis du e-commerce; certains ont même choisi de se lier au e-commerce tels que Maida, Au Derby, Tangérois, Micro Choix,et même quelque services publics s’y sont mis (Maroc Telecom, Lydec, Trésorerie Générale du Royaume,….).

 
Cette ligature permet au commerce classique d’augmenter sa visibilité, d’améliorer son image de marque et se rapprocher de plus en plus des consommateurs, puisqu’une fois sur le site l’internaute n’a besoin que de quelques clics pour avoir accès à l’ensemble des informations sur la marque, ses produits et bien sûr un accès permanent aux promotions quasi continuelles proposées par ces sites, qui d’autant plus y proposent dans la majorité des cas des prix plus bas que dans leurs boutiques ou magasins réels. Le client pourra donc passer sa commande sur internet et la recevoir chez lui ou passer la récupérer dans le magasin.

Grâce au e-commerce, le commerçant pourra enfin collecter un maximum de donnés sur ses clients pour mieux les connaitre et mieux répondre à leurs besoins. Ceci aidera aussi lors des lancements des campagnes marketing, qui, seront de plus en plus ciblées.

Les professionnels du marché traditionnel peuvent utiliser leur expérience sur le terrain afin de servir les internautes. Tout est donc possible à condition de bien cerner les besoins de sa clientèle et de savoir y répondre par n’importe quel moyen.

Afin d’encourager les e-commerçants marocains, plusieurs aides sont mis à leurs disposition. Donnant l’exemple de Maroc Télécommerce, qui crée, tous les ans lors du salon Med-It à Casablanca, un concours qui voit décerner le prix du meilleur site de e-commerce au Maroc et qui aide les futurs e-commerçants à mieux concevoir l’avenir de leurs sites.


La question qui concerne de plus en plus les internautes, et qui s’impose ses derniers jours comme polémique publique et discussions de cafés, traitée que ce soit dans la presse, ou même devant le parlement : à quand l’application des textes de loi concernant la protection des données et informations personnelles, via les nouveaux outils technologiques, que ce soit le téléphone mobile, ou le réseau Internet) ? 

Source : (http://www.emarrakech.info/)

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