mardi 2 novembre 2010

Tunisie : « comment vendre sur le web ?»

Le Ministère du Commerce et de l’Artisanat, en collaboration avec le Centre du Commerce International de Genève, organise le 10 novembre 2010 un Workshop sur : 
«Vendre sur le web : comment profiter du logiciel libre et applications e-commerce pour créer sa boutique en ligne».

 
Une rencontre qui se verra organisée en marge de la cinquième édition du Forum International ICT4ALL-Tunis + 5 Organisé par le Ministère des Technologies de la communication du 10 au 12 Novembre 2010 à Hammamet Medina.

Cette Initiative s’insère dans le cadre de la stratégie de développement du commerce électronique en Tunisie et vise à inciter les jeunes promoteurs et les opérateurs économiques (notamment les entreprises exportatrices) à bien exploiter les Technologies de l'information et de la Communication dans les échanges commerciaux, renforcer leur compétitivité et augmenter leurs parts de marché.

Dans l’objectif de développer le nombre des entreprises qui optent pour le e-commerce, ce Workshop permettra de former des Entreprises, en particuliers des jeunes porteurs de projet d’entreprise, sur les dernières innovations en matière de solutions e-commerce, applications, plateformes et systèmes de gestion de contenu pour la création de boutiques en ligne et galeries virtuelles.

Durant toute une journée, des experts internationaux et des Professionnels Tunisiens dans les domaines de la création de boutiques virtuelles et des sites web marchands peuvent vous orienter et conseiller sur les outils nécessaires pour lancer votre site de e-commerce.

Source : (http://tunisiait.com/)

Tunisie : 45% des profs ignorent l’informatique

C’est le résultat accablant d’un rapport sur la pénétration des Logiciels libres en Tunisie. L’étude qui promet de faire des vagues a été réalisée pour le compte du ministère des Technologies de la Communication. Et pour l’occasion, les inspecteurs de l’Education Nationale y vont aussi de leur grain de sel.
  




«L’informatique est un outil bien présent dans l’enseignement secondaire, 97.9% des inspecteurs interrogés déclarent que l’informatique est intégrée à l’enseignement de leur discipline. Néanmoins plus de 45% des enseignants ignorent complètement l’usage de l’outil informatique ou disposent d’un niveau basique». C’est le résultat accablant d’un rapport qui fait un état des lieux sur la pénétration des Logiciels libres en Tunisie. 

Ce rapport qui porte le titre «Étude stratégique sur les Logiciels Libres» a été réalisé conjointement par l’Institut de Sondage et de Traitement de l’Information Statistique (ISTIS) et la société d’ingénierie informatique MedSoft pour le compte du ministère des Technologies de la Communication. Il y fait un état des lieux sur l’utilisation et le développement des Logiciels Libres en Tunisie.

Manque d’infrastructure et d’espace dans les lycées

Parmi les secteurs passés au peigne fin, le rapport s’est également intéressé à l’utilisation de l’Open Source dans l’éducation secondaire. En préambule, ISTIS et MedSoft ont voulu mettre toute la lumière sur les racines du problème entravant la diffusion de la culture du Libre chez les élèves : «La disponibilité de l’espace et de l’infrastructure nécessaires représente l’un des facteurs clés à l’intégration des TIC dans les diverses disciplines. Plus de 26% des inspecteurs indiquent que cette infrastructure n’est pas toujours disponible et 38% disent qu’elle est moyennement disponible, contre 36% déclarant qu’elle est disponible». 

Un autre point a été épinglé par ce rapport. Les professeurs sont parfois obligés de mettre la main à la poche pour enseigner ou diffuser une information sur le domaine informatique : «Environ 80% des enseignants utilisent aussi bien les moyens disponibles au niveau de l’établissement que leurs propres moyens». De ce fait, l’éducation numérique dans les lycées est disparate entre les régions et voire même entre les classes. Et pour cause : elle dépendra étroitement des moyens financiers et moraux de l’enseignant lui-même.

L’utilisation de l’Open source n’est pas obligatoire

Toujours d’après le rapport, «même si plus de 90% des inspecteurs déclarent qu’ils ont entendu parler du Logiciel libre, ceux qui en connaissent la définition ne représentent que 34%». Pire encore, «environ 16% seulement des inspecteurs sont informés des Logiciels libres disponibles et adaptés à leurs disciplines». La raison ? «L’utilisation du Logiciel libre n’est pas dictée par des programmes, elle est laissée dans 93% des cas à l’initiative des enseignants», rapporte cette étude.

Les professeurs dans les lycées sont donc libres de choisir les logiciels de leur choix pour enseigner l’informatique. En dressant un tableau des logiciels les plus utilisés par ces enseignants, on trouve au top 3 MS Office, Solid Works et Flash Player. Tous les trois sont propriétaires.

Le rapport conclut à la fin de cette étude sur le secteur de l’éducation secondaire que «le pourcentage d’enseignants maîtrisant l’utilisation des Logiciels Libres est estimé à environ 29% toutes disciplines confondues. Pour près de 85% des inspecteurs, les connaissances des enseignants ont été acquises par des initiatives individuelles non structurées». 

La solution préconisée par la majorité écrasante (91.4%) des inspecteurs de l’Education Nationale ? Dispenser une formation obligatoire aux enseignant pour leur apprendre les fondamentaux de l’Open source, pour pouvoir enfin libérer les élèves des entraves propriétaires.

Source : (http://www.tekiano.com/)

L'e-commerce américain continue de croître, tiré par les "pure players"


Les ventes en ligne ont enregistré une hausse de 2% en 2009 aux Etats-Unis en atteignant 134,9 milliards de dollars contre 132,3 milliards en 2008. L'e-commerce représente désormais 6,5% des ventes de détail (par rapport à 6,2% en 2008).

 


Ces chiffres de croissance, livrés par Internet Retail, ne tournent plus autour des 20% de la  première décennie de l'e-commerce. Cependant, le commerce électronique est le seul segment de l'industrie du retail qui est à la hausse. En effet, les ventes de détail ont diminué de 3% aux Etats-Unis.
 
Internet Retail va bientôt publier son Top 500 annuel des e-commerces américains. Celui-ci met en évidence certaines tendances et confirme la transposition des consommateurs vers le commerce électronique. Ainsi, les 500 sites marchands majeurs des Etats-Unis enregistrent un chiffre d'affaires total en hausse de 8,7% à 126,38 milliards de dollars en 2009, contre 116,28 milliards en 2008. Au total, leur audience croît même de 22,9 % à 2,58 milliards de visites mensuelles, contre 2,10 milliards en 2008.
 
Les 100 plus gros sites marchands américains ont en moyenne progressé plus vite que le secteur, enregistrant une croissance de 11,6 % de leurs ventes en ligne. Ceux occupant les places 401 à 500 du classement se contentent d'une hausse de 2 % de leur chiffre d'affaires Web, témoignant que les consommateurs se dirigent de plus en plus vers les gros e-commerçants.
 
Comme les années précédentes et toutes catégories confondues, ce sont les pure players qui connaissent les plus fortes croissances de ventes en ligne, grâce à Amazon qui à lui seul compte pour 52 % des ventes réalisées par des pure players. Ceux qui figurent dans le Top 500 d'Internet Retailer voient leurs ventes en ligne progresser de 19,8 % à 42,94 milliards de dollars. Cette croissance est de 3,8% seulement en moyenne chez les fabricants et marques du Top 500 et de 6,6 % chez les chaînes de distribution, tandis que les vépécistes déclinent de 3,1 %.
 
Pour la plupart des chaînes de distribution, Internet est le seul canal de vente en croissance. Ainsi, chez 26 des 50 plus grandes chaînes, les ventes en ligne ont augmenté alors que les ventes sur un périmètre constant de magasins ont baissé. Chez 11 autres chaînes, le canal Web a progressé plus vite ou décliné moins vite que le offline, pris à périmètre constant.

Source : (http://e-commerce.over-blog.net/) 
 

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