lundi 18 octobre 2010

Lingerie glamour et "E-commerce" : Une solution Drop Shipping poussée

Starnet, distributeur exclusif de Leg Avenue en Europe, perfectionne le principe de Drop Shipping avec le Love Drop Shop™.

Starnet a développé un "écosystème" complet qui automatise la presque totalité des tâches répétitives des e-commerçants qui exercent en drop shipping dans le secteur de la lingerie sexy en ligne.
 
C’est aujourd'hui la seule solution business qui automatise toute la chaine logistique et qui supprime le risque de vendre un article qui serait en rupture de stock.

Qu'est ce qu'est le drop shipping ?

Ce concept permet à une entreprise de vendre un produit physique sans l’avoir en stock : c’est le fournisseur de l’e-commerçant qui expédie le produit directement vers le client final.

 
Les plus du Love Drop Shop™

Le drop shipping poussé au maximum de son automatisation, en particulier :

  •  Remontée automatique des commandes valides vers le fournisseur = pas d'action à faire par le e-commerçant.
  • Affichage des quantités du stock du fournisseur en temps réel = impossible de vendre un article non disponible. 
  •  Mise à jour automatisée du fichier articles avec photos, variantes de tailles et couleurs = pas de perte de temps. 
  •  Pas d'avance d’argent = le e-commerçant ne paye son fournisseur qu’après avoir encaissé sa vente.

Pour qui?
 
Love Drop Shop™ s'adresse à tout type de e-commercant : du particulier auto-entrepreneur cherchant des revenus complémentaires à la PME soucieuse de diversifier ses activités.

Par qui?

Leg Avenue™, marque de Lingerie N°1 représentée en Europe par Starnet. Starnet est la 1ère entreprise dans son secteur à avoir importé le Drop Shipping en 2006.
 
Quel marché?

Le domaine de la lingerie glamour bénéficie en Europe d’une croissance de 20%. Le commerce en ligne connait lui aussi une croissance de 20%.
 
Lancée à petite échelle au début de l’été 2010 pour une montée en charge progressive, Starnet propose aujourd’hui une solution rodée qui atteint un très bon niveau de satisfaction.

Source : (http://www.24presse.com/)

Le "E-commerce", un secteur créatif et un succès qui ne se dément pas

Le e-commerce en ligne poursuit sa percée et fait de plus en plus d'émules. D'après les prévisions Xerfi, il devrait d'ailleurs afficher une croissance avoisinant les 20% en 2011 et en 2012. Il faut dire que les cyber-marchands sont suffisamment alertes et imaginatifs pour mettre en place des offres alternatives « en phase avec les attentes d’un consommateur radin-malin et désormais totalement décomplexé dans sa recherche de bonnes affaires » explique Xerfi Research dans son étude « L'e-commerce face aux nouveaux modes de consommation ». C'est donc aujourd'hui la grande mode des ventes événementielles, des déstockages, des achats groupés, de l'occasion, mais aussi du troc, de la location ou encore du cashback.
 
 Les cybers-acheteurs sont de plus en plus dans la phase de la maturité

La crise économique* s'est, en effet, avérée propice à l’émergence de certaines catégories de sites permettant aux foyers français de faire des économies, de réaliser des achats malins et « ainsi de continuer à consommer certaines catégories de biens et services traditionnellement très exposées aux arbitrages de consommation » souligne Xerfi Research. C'est le cas notamment de la vente privée dont Vente-privée.com est le leader incontestable. En 2009, le site a enregistré un chiffre d'affaires de 680 millions d'euros et confirme sa position de numéro un d'année en année. Face à cette hégémonie, les concurrents ont été contraints de revoir leur stratégie. Cela dit, même si Vente Privée est le poids lourds du secteur, le domaine de la vente événementielle reste toutefois très attractif. Notez par exemple qu'Accel Partners vient d'entrer au capital de Showroomprivé, numéro 2 du secteur avec 75 millions d'euros de chiffre d'affaires l'an dernier.
 
Du côté de l'occasion, Leboncoin.fr s'est rapidement imposé comme la pierre angulaire du marché avec deux avantages de taille : sa gratuité et sa simplicité d'utilisation. Ce qui a évidemment obligé eBay et Priceminister à revoir leurs services et à modifier leurs grilles de tarifs. Soutenu depuis juin dernier la japonais Rakuten, PriceMinister est d'ailleurs devenu le principal site de e-commerce français (au niveau de l'audience) devant eBay.

En ce qui concerne la location, l'offre n'en est qu'à ses premiers balbutiements. Et même si le lancement de Lokéo (location d'appareils électroménager et multimédia) devrait amener d'autres enseignes d'équipement de la maison à s'engouffrer dans la brèche, Xerfi Research estime que le marché de la location reste encore largement sous-exploité.


Le troc, lui aussi, n'est pour l'instant pas très développé. Ce segment est dominé par des sites rémunérés grâce à la publicité qui se contentent de mettre en relation les internautes. Cependant, des sites comme Trocminute.com, véritable plateforme communautaire d'échanges, pourrait bien changer la donne.


Deux autres catégories de site ont également refait surface ces derniers temps :

  • Les sites de cashback. « Le marché attire de nombreux opérateurs issus de secteurs variés » fait remarquer Xerfi Research. « Parmi les acteurs non spécialisés ayant lancé une offre de cashback entre 2008 et 2010 : le numéro deux mondial des cartes de crédit MasterCard ; la filiale bancaire de Carrefour, Pass Services Financiers ; le leader de la fidélisation en ligne Maximiles ; le comparateur de prix Kelkoo ».

  • Les sites d'achat groupé. Cette année, plusieurs sites du genre se sont lancés dont Clubdeal, Groupon, Dealissimme, Radins.com et ConsoGlobe qui, en plus, d'une boutique de produits bio et de contenus éditoriaux (dossiers, bons plans, etc.), propose des services d'occasion, de location, d'échange et de don.
L'étude révèle par ailleurs que le développement de ces sites passe par une large exploitation de la notion de communauté (avec l'utilisation des réseaux sociaux, mais aussi le regroupement des internautes par zones de résidence, par centres d'intérêt, etc.) et par un élargissement de l'offre à des gammes de produits et services de plus en plus nombreuses.

Enfin, Xerfi Research signale que tous ces sites s'appuient principalement sur deux business models : la rémunération grâce à une marge sur la vente, la revente ou la location du bien, ou la perception d'une commission sur transaction (vente ou location), conjuguée à des recettes publicitaires, des frais d'insertion des offres ou un abonnement au site.

Xerfi rappelle que les retailers, encore peu présents sur ces marchés en ligne, prennent " progressivement conscience des enjeux et opportunités que représentent ces nouveaux modes de consommation ". Certains d’entre eux se sont très récemment lancés sur l’un des segments de marché précédemment cités. La Fnac est présente sur le marché en ligne de l’occasion par l’intermédiaire de sa market place depuis 2009.  Initialement réservée aux vendeurs professionnels, cette dernière s'est ouverte aux particuliers en septembre de la même année. Fnac.com propose également un service de cashback, mis au point avec l’appui du spécialiste eBuyClub, depuis 2010. Groupe d’appartenance des enseignes Boulanger et Electro Dépôt, HTM a officiellement lancé Lokeo.fr, un site de location d’appareils électroménagers, multimédia et informatiques en juin 2010. Intermarché a ouvert Family Troc, une plateforme d’échange entre particuliers accessibles depuis la page Facebook « tous unis contre la vie chère » en septembre 2010. Enfin, la Caverne des Particuliers, Troc de l’Ile (rebaptisée Troc.com) et Cash Converters sont les principales enseignes de dépôt-vente et d’achat-vente à proposer un site marchand ou une market place de biens d’occasion. Certains de leurs concurrents, comme Cash Express (et son site dropexpress.fr), proposent un « drop-off store », autrement dit un service de vente sur eBay.
 
Quel que soit le site et le business model choisi, « Internet demeure un laboratoire d’idées et d’initiatives nouvelles » souligne Delphine David, auteur de l'étude. « Plus que pour tout autre circuit de distribution, les impacts de la crise sur l’élaboration de business models et des stratégies marketing vont se concrétiser par un renforcement de la créativité et l’émergence de concepts novateurs ».

* Les prévisions de Xerfi font état d’une baisse du pouvoir d’achat par ménage sur l’ensemble de la période 2010-2012. Il faudra patienter jusqu’à la fin de l’année 2011 pour que la consommation des ménages amorce son redressement (ce qui se soldera par une croissance de +1,6% en moyenne annuelle en 2012, après un décevant 0,4% en 2011). D’ici là, des choix s’imposent aux consommateurs.


L’analyse relative aux arbitrages des ménages sur les dépenses dites « non contraintes » a abouti à la constitution de trois groupes de dépenses :

  •   Les « condamnés » : les postes de consommation les plus exposés aux arbitrages des ménages qui sont l’automobile, la restauration, les vêtements.

  •   Les « épargnés », c'est-à-dire, les postes dont la consommation va continuer de progresser plus rapidement que la moyenne : l’entretien de la maison (bricolage, jardinage), la culture, les loisirs, le tourisme de proximité et le bien-être (produits et soins de beauté).

  •   Les postes en « sursis », autrement dit, ceux qui ont une position intermédiaire et qui peuvent faire l’objet d’arbitrages aussi bien positifs que négatifs. Il s’agit de l’équipement du foyer (décoration, meubles et appareils ménagers), de l’équipement de la personne (maroquinerie, bijouterie, horlogerie et chaussures), ainsi que du tourisme (séjours touristiques, hôtellerie…).  

Source : (http://www.itrnews.com/)

E-commerce : qui est l’Homme de l’année 2010 ?

A l’occasion des Trophées du E-commerce dont la cérémonie s’est déroulée en début de semaine, Pierre Trémolières a été élu Homme E-commerce de l’année 2010. Fondateur du site Internet delamaison.fr, il a été nommé parmi les personnalités e-commerce de l’année pour son intuition sur les potentialités du marché de la décoration en ligne, et pour la qualité de la stratégie de développement tout azimut de son site.

En outre, le podium s’agissant de l’Homme E-commerce de l’année est complétée de la manière suivante :

- Olivier Aizac – Leboncoin.fr : « Pour le succès incroyable de ce portail qui repose sur une idée simple : la bonne affaire est au coin de la rue. Et qui enregistre des chiffres d’affaires éloquents : 10 millions de pages vues par mois et 300 000 nouveaux produits déposés chaque jour. Révélateur du succès : la locution « le bon coin » est l’un des 10 mots clés les plus recherchés sur Google ».

- Thina Cadierno : « Quatre ans de défis : passer d’un marketing produit à un marketing client, remodeler la plate-forme, et rénover le système d’information clients.  Elle place le E commerce au cœur de la stratégie de l’UCPA. Simplification ergonomique, multiplication des opérations marketing online : Résultat : 2 millions de visiteurs en 2009 et 30% du CA réalisé en ligne. »

Source :(http://www.ceriseclub.com/)

Publicité en ligne : l'efficacité mesurée

La mesure de l'efficacité de la publicité en ligne passera par le développement de nouveaux indicateurs, à utiliser en fonction des objectifs de chaque campagne de communication. 

Ce n'est plus une surprise, les investissements publicitaires ne cessent de croître sur Internet. En 2010, ils devraient atteindre 16% des sommes engagés dans la publicité à travers le monde, soit 61,8 milliards de dollars (source : emarketer - juin2010). Et si cette tendance se poursuit, ils devraient dépasser 20% à l'horizon 2014, et par la même, la barre des 100 milliards de dollars. C'est dire l'importance des sommes investies par les annonceurs, et le caractère primordial de la mesure de l'efficacité de la publicité en ligne. De nombreuses études existent sur ce sujet, mais aucune vision globale n'en a été dégagée. C'est désormais chose faite avec l'étude réalisée par PricewaterhouseCoopers (PwC), pour le compte de l'IAB France et du SRI (Syndicat des régies internet).

Plus de 200 études passées au crible par PwC, ainsi que les témoignages d'annonceurs et d'agences ont permis de dresser un panorama complet de la mesure de l'efficacité de la publicité en ligne. La conclusion est claire: il n' y a pas d'indicateur unique pour mesurer la performance de la publicité on line, mais bien une large palette d'outils qu'il est essentiel d'activer en cohérence avec les objectifs de chaque campagne.
Pour autant, aujourd'hui encore, le taux de clic reste l'indicateur de référence pour les annonceurs (60% d'entre eux s'y fient aux États-Unis), alors qu'il souffre d'une faille pour le moins éloquente: seuls 16% des internautes cliquent sur les publicités, et 8% des internautes représentent 85% des clics. La seule prise en compte du taux de clic comme outil de mesure ne peut donc pas être révélatrice de l'impact réel d'une publicité, «ni de l'ensemble des usages et comportements des internautes exposés», souligne Matthieu Aubusson, responsable associé du secteur médias et loisirs chez PwC. 

 L'émergence de nouveaux indicateurs

Principalement développés par les acteurs de la publicité interactive, de nouveaux outils de mesure permettent de combler les failles du taux de clic. La mesure de l’exposition tout d'abord. Elle permet à l’annonceur de connaître la visibilité réelle d’une publicité en évaluant la durée d’exposition moyenne des internautes. Un indicateur essentiel puisqu'il met en exergue les différences de durée d’exposition selon les formats publicitaires.

Deuxième indicateur, et non des moindres, la mesure de l’interaction (lecture d’une vidéo, ouverture d’une bannière…). C'est un premier niveau d’analyse de l’impact d’une campagne vidéo ou rich media sur la marque. Selon les sources de PwC, les taux d’interaction se révèleraient 20 à 50 fois supérieurs aux taux de clic.

Quant à l’analyse de la navigation et de l’engagement des internautes sur le site, c'est le troisième indicateur qu'il convient de considérer. En effet, celui-ci permet aux annonceurs d’évaluer l’impact de leurs campagnes de branding en étudiant leur comportement de navigation (profondeur, durée, actions réalisées). L’engagement des internautes, autrement dit le temps passé et le nombre de page vues, augmenterait de plus de 50% suite à l’exposition à une campagne.

Reste que dans cette débauche de nouveautés, un dernier élément énoncé par les annonceurs est à considérer, en dépit de son impopularité au sein de la communauté des publicistes: les créations. «Les annonceurs pensent que l'efficacité des créations publicitaires est insuffisante», affirme Sebastien Leroyer, manager chez PwC. Et envisagent comme piste de solution pour y remédier, le recours plus régulier à des prétests.

Source : (http://www.ecommercemag.fr/)

Cisco lance Cius : le premier touchbook BtoB

Grosse surprise la semaine dernière avec l’annonce faite par Cisco du lancement de Cius, le premier touchbook BtoB : Cisco Simplifies Mobile Collaboration with First-of-its-kind HD Video-Capable Business Tablet. Ce terminal ambitionne.


Grosse surprise la semaine dernière avec l’annonce faite par Cisco du lancement de Cius, le premier touchbook BtoB : Cisco Simplifies Mobile Collaboration with First-of-its-kind HD Video-Capable Business Tablet. Ce terminal ambitionne de révolutionner notre façon de travailler et d’interagir avec une offre complète incluant les services de communication et de collaboration de Cisco.



 Le Cius sur son support

Première chose notable : Cisco présente son touchbook comme un complément des outils traditionnels (téléphone fixe, smartphone, notebook…) et non comme une solution autonome. D’ailleurs les caractéristiques techniques de ce terminal sont plus proche d’un gros smartphone que d’un ordinateur : Système d’exploitation Android, écran 7″ avec webcam HD, communication Wifi + 3G et même 4G…


 Vidéo-conférence avec le Cius

Deuxième fait notable : Ce terminal n’est pas censé accompagner les collaborateurs nomades dans leurs déplacements à l’extérieur mais plutôt accompagner les collaborateurs au quotidien dans les déplacements au sein de leur bureau (salle de réunion…). Le positionnement est donc très proche d’un iPad (qui est plus à l’aise dans votre salon que dans le bus) mais dans un contexte BtoB.
La principale fonction de ce terminal est d’améliorer les échanges du quotidien (vidéo-conférence, messagerie instantanée…) ainsi que la collaboration en intégrant les outils « maison » (Quad, Show and Share, WebEx Connect, Presence…).
Il y a plusieurs choses que je trouve très intéressantes dans ce produit :
  • Il utilise le système d’exploitation Android donc va potentiel stimuler le développement d’applications métier pour ce touchbook mais également pour les smartphones compatibles ;
  • Aucune donnée n’est stockée sur ce terminal donc cela va inciter les collaborateurs à utiliser des offres de type SaaS et cloud computing ;
  • Il s’insère parfaitement dans le S.I. de l’entreprise (grâce à AnyConnect VPN et Unified Communications Manager) donc peut dialoguer avec n’importe quel applicatif.
En termes d’usage, plusieurs scénarios sont à envisager :
  • Un téléphone 2.0 qui permet de faire de la visio même à la canine ;
  • Un écran d’appoint qui permet de consulter des données ou de faire des actions de base en réunion ou dans le bureau d’un collègue ;
  • Une fenêtre ouverte sur la vie, la conscience de l’entreprise avec les outils de microblog / social presence et le dashboard des collaborateurs.
  
Un vue permanente sur l'activité de l'entreprise et de vos collègues

Il est encore un peu tôt pour dresser une liste complète des usages et bénéfices de ce terminal, mais l’on sent un potentiel gigantesque notamment dans d’autres secteurs comme l’éducation : Cisco Crams Its Broad(band) Ambitions Into an Android Tablet.

Avec l’offre Cius, Cisco vient de définitivement fermer la porte à l’iPad pour les usages BtoB. Rien de bien grave car les ambitions d’Apple se situaient ailleurs, par contre le choix d’Android pourrait avoir un impact non négligeable sur l’utilisation d’iPhones en entreprise…

Source : (http://webmarketing-ah.blogspot.com/)



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