lundi 27 décembre 2010

Sur Amazon, la star c'est Kindle !

Séance d'autosatisfaction chez le géant du e-commerce : sa liseuse électronique est désormais le champion toutes catégories des ventes sur Amazon. 

Le distributeur en ligne Amazon a annoncé lundi que sa liseuse électronique Kindle, dans sa dernière version, était devenue le champion toutes catégories de ses ventes, éclipsant même le dernier opus de la saga des livres Harry Potter.

 


"Nous sommes reconnaissant aux millions de clients qui ont fait du tout nouveau Kindle le produit le plus vendu de l'histoire d'Amazon, surpassant Harry Potter 7", a souligné dans un communiqué le PDG fondateur Jeff Bezos Il  a également souligné la complémentarité de l'appareil avec les tablettes numériques du type iPad, où beaucoup voyaient une concurrence potentiellement pour de simples appareils de lecture.
  
"Nous voyons que beaucoup de clients qui achètent des Kindle ont aussi une tablette à cristaux liquides. Les clients indiquent qu'ils utilisent leur tablette pour des jeux, des films, et naviguer sur internet, et leur Kindle pour lire. Ils indiquent qu'ils préfèrent le Kindle pour la lecture parce qu'il est plus léger, ne provoque pas d'inquiétude que la batterie puisse lâcher (...), et bénéficie de la technologie d'encre électronique Pearl, ressemblant au papier, qui réduit la fatigue oculaire, ne perturbe pas le sommeil en soirée, et marche au soleil en extérieur, ce qui est important surtout pour les lectures de vacances", a fait valoir M. Bezos.Selon lui, le prix comparativement modique du Kindle (à partir de 139 dollars, contre à partir de 499 dollars pour l'iPad d'Apple), est également un "facteur clé" de sa popularité. 

Source : (http://lci.tf1.fr/high-tech/)


Tunisie. Le e-commerce pour impulser le textile-habillement

Sur 2020 entreprises tunisiennes de textile-habillement, seules 120 disposent d’un site web et une seule a créé un site marchand. Est-ce acceptable? 









Non, bien sûr. Le e-commerce doit être l’un des axes du développement du secteur du textile-habillement, qui représente en Tunisie 35% des entreprises et 40% des emplois dans les industries manufacturières.  

C’est pour étudier les voies de développer cette orientation stratégique que le Centre technique du textile (Cettex) a organisé, jeudi, à Ben Arous, au sud de Tunis, un séminaire sur le thème: «E-commerce textile-habillement: outil d’innovation et de croissance».

 
Améliorer la visibilité internationale

Cette manifestation, organisée en collaboration avec l’école française de mode Mod’Spe Paris (France), s’inscrit dans la stratégie nationale de développement du commerce électronique (e-commerce). Elle vise à encourager les professionnels du secteur, dont certains tardent à prendre la mesure des mutations en cours dans leur industrie, à créer des sites marchands et à développer des ventes et des échanges à travers la toile.
 
En plus de la sensibilisation des opérateurs à la nécessité d’améliorer la visibilité de leurs produits à travers une meilleure exploitation des technologies de l’information et de la communication, le Cettex cherche, à travers ce séminaire, à mettre en exergue, aux yeux des opérateurs et des analystes, les freins et les facteurs de succès de l’e-commerce et d’identifier ses conditions de réussite dans le contexte socio-économique tunisien.

«Avec plus de 2.000 entreprises et 200.000 emplois, le secteur textile habillement représente 35% des entreprises et 40% des emplois de l’ensemble des industries manufacturières», a souligné M. Afif Chelbi, ministre de l’Industrie et de la Technologie, dans son allocution d’ouverture du séminaire.

Le ministre a ensuite indiqué que le renforcement de la visibilité internationale du secteur tunisien du textile-habillement est l’un des axes importants de la stratégie industrielle nationale à l’horizon 2016, sachant que la promotion de l’innovation industrielle et technologique est l’objectif primordial de cette stratégie.

«La dématérialisation des transactions et le développement de l’Internet et du commerce électronique, plus particulièrement, constituent des évolutions importantes auxquelles le secteur tunisien du textile-habillement est appelé à s’adapter et à tirer le meilleur profit», a explique M. Chelbi.

Signes rassurants de reprise

Evoquant ensuite la situation du secteur dans la conjoncture économique mondiale, le ministre a souligné qu’après l’année 2009, qui a été marquée par les effets de la crise économique sur l’ensemble de l’activité industrielle de la zone méditerranéenne, le secteur textile-habillement affiche en 2010 des signes de reprise. Les onze premiers mois de 2010 ont ainsi enregistré une progression des exportations tunisiennes de 6,5% comparativement à la même période de 2009, a-t-il ajouté. Le ministre a relevé que le secteur TH doit faire preuve de vigilance, de dynamisme et de vision prospective afin de saisir toute les opportunités à même de préserver et consolider cette reprise.

Le secteur du textile-habillement a bénéficié du Programme de mise à niveau (Pma) et celui des investissements technologiques prioritaires (Pitp) avec respectivement 1.507 et 1.951 dossiers approuvés, soit 45% et 43% des approbations de l’ensemble de l’industrie manufacturière depuis le début de ces deux programmes.

Etendre la chaîne de valeur du secteur

En outre, plusieurs autres programmes ont été mis en œuvre pour développer la compétitivité et accompagner l’évolution des entreprises du simple statut de sous-traitant à celui de cotraitant et de fournisseur de produit fini. L’objectif étant d’étendre la chaîne de valeur du secteur de la confection à la fois en amont et en aval.
Le ministre a souligné que le secteur du textile-habillement est en déficit de communication, la majorité des entreprises ne disposant pas d’une fonction marketing et commerciale structurée. Il a ajouté que seulement 120 entreprises disposent d’un site web dont un seul site marchand, ce qui revient à dire que plus de 1.900 entreprises du secteur sont invisibles sur Internet.

Le ministre a ajouté que l’évolution du nombre d’internautes, de transactions électroniques et du chiffre d’affaires réalisé par l’intermédiaire de la toile ne laisse aucun doute sur l’intérêt et le potentiel que présente le e-commerce, qui constitue une alternative pour les entreprises ne disposant pas des moyens suffisants pour installer des boutiques à l’étranger.

M. Chelbi a ajouté, dans ce contexte, que des encouragements ont été institués en faveur des entreprises exportatrices pour les actions de promotion, marketing et le recours aux experts en commerce électronique dans le cadre des avantages octroyés par le Fonds de promotion des exportations (Foprodex) et le Fonds d’accès aux marchés extérieurs (Famex).

Il a, également, indiqué que le guichet unique du Centre de promotion des exportations (Cepex) est aujourd’hui, à même de conseiller et d’orienter les exportateurs pour adopter les nouvelles technologies dans le cadre de leur prospection commerciale.

Une stratégie et un plan national de développement du commerce électronique ont d’ailleurs été développés. Ils visent une meilleure diffusion de la culture du commerce électronique par les petites et moyennes entreprises (Pme), l’instauration d’un environnement de confiance dans ce mode d’échanges et l’incitation des entreprises tunisiennes à adhérer au niveau des marchés national et international. 

Source : (http://www.kapitalis.com/)

e-commerce : deux pharmaciens devant le tribunal

Deux pharmaciens troyens étaient poursuivis pour avoir vendu sur internet des produits étiquetés comme « médicaments »

L'audience correctionnelle d'hier a été consacrée à une seule affaire : deux pharmaciens troyens ont-ils été coupables d'exercice illégal de la pharmacie pour avoir, d'avril 2007 à juillet 2008, vendu sur internet des produits relevant du monopole des pharmaciens ?

 
Luc Seigneur et Jérôme Mougeville, par ailleurs associés à la tête de la pharmacie du 1er-Mai, s'en défendent : « On a juste été précurseurs et maladroits. »

En 2007, alors que l'ordre national des pharmaciens se montrait totalement hostile à toute perspective d'e-commerce, les deux Troyens décident de se lancer : « De plus en plus de sites se montaient. » Ils expliquent avoir demandé à leur expert-comptable de trouver des statuts qui leur permettent de rester dans les clous.

De là, fut créée la SARL Pharmajet, où étaient associés les deux pharmaciens et un informaticien, avec l'objectif de commercialiser par le biais de son site « pariscosmetic.com », des « produits cosmétiques, pharmaceutiques et parapharmaceutiques ».

Question de monopole

Le président du syndicat des pharmaciens de l'Aube, Denis Brugirard, reconnaît avoir passé plusieurs « commandes pièges » concernant des articles relevaient du monopole de vente des pharmaciens.
Plainte a été déposée. L'enquête du SRPJ a conclu à la présence de 339 de ces produits inscrits au Code de la santé publique sur les 7 000 mis en vente. Rien de ce qui est délivré sur ordonnance (sauf un vermifuge pour chat) mais des tests de grossesse, des bandages et pansements, du liquide pour nettoyer les lentilles de contact, des gélules aux plantes, des aliments pour bébé, des anti-puces pour animaux…

À la barre, Luc Seigneur a joué hier la carte de la démystification. Là où ses confrères évoquent « médicaments » et « risque pour la santé publique », lui affirme : « Ce sont des produits qu'on peut trouver ailleurs que dans une officine : l'anti-puce Frontline est vendu à Jardiland et les gélules aux plantes Arko, au millepertuis ou autre, sont des compléments alimentaires qui, sous d'autres marques, mais aux mêmes dosages sont vendus à la coopérative Hermès. Il n'y a aucun danger. Mais pour montrer notre bonne foi, nous les
avons retirés du site. »

Depuis 2008, tout s'est arrangé. Le Conseil national de l'ordre des pharmaciens a admis la vente en ligne de produits parapharmaceutiques à condition que le site soit fusionné avec une officine. Luc Seigneur et Jérôme Mougeville, sans leur informaticien cette fois, ont donc tout simplement affilié leur site à la pharmacie du 1er-Mai. Reste que leurs confrères gardent en travers de la gorge leur initiative.

e-pharmacie et réglementation

Pour preuves, les parties civiles présentes ou représentées hier : l'ordre supérieur national des vétérinaires, l'ordre régional et l'ordre départemental des pharmaciens ainsi que le syndicat des pharmaciens de l'Aube.

« Depuis 2003, toutes les instances travaillent à la réglementation de la vente sur internet des produits pharmaceutiques. Tout est mis à bas par des gens de notre profession qui veulent être les premiers à prendre des parts de marché. La grande distribution n'attend que cela ! », a fait valoir l'avocat du Conseil de l'ordre des pharmaciens, pour qui les 339 produits incriminés nécessitent d'être vendus sous le monopole des professionnels.

« Pour vendre les produits spécifiques à une officine, eux sont passés par une SARL, s'affranchissant de leur qualité de pharmaciens. Pour aller plus loin dans leur pratique commerciale, ils ont pris des risques pas vraiment calculés pour voir jusqu'où ils pouvaient aller. Ce qui pose problème, c'est qu'ils ne vendent pas de l'électroménager mais des produits qui demandent des compétences et des conseils », a commenté Vincent Jacquey, substitut du procureur. Des peines de six mois de prison avec sursis et des amendes de 3 000 € ont été requises.

Règlement de comptes

« Quand ils ont voulu créer leur site, personne n'était en mesure de leur donner des conseils. On les a laissés se planter, on les a piégés et on les fait condamner. On est dans un règlement de comptes anticonfraternel au possible », a déploré, en défense, Me Gérard Chemla, dénonçant : « Ceux qui se présentent comme les chevaliers blancs ou les ayatollahs de la santé publique s'en tamponnent. La seule motivation, c'est le fric. »
Délibéré au 22 février

Source : (http://www.lest-eclair.fr/)

La plateforme e-catalogue PageEX™ pour iPhone et iPad

Conscient que les annonceurs doivent considérer les terminaux mobiles comme un élément essentiel de leur stratégie marketing et commerciale, PageOnDemand.com, l’expert catalogue, enrichie son offre et propose avec sa plateforme PageEX™ une déclinaison e-catalogue pour les supports mobiles résolument orientée e-commerce.

   


Une solution innovante pour valoriser les e-catalogues sur tous les supports

Catalogues imprimés, e-catalogues sur le web, sur les smartphones et les tablettes, il est essentiel pour une enseigne d’être présente sur tous les canaux pour toucher au bon moment avec le bon produit et le bon service un acheteur à la recherche d’informations. Au-delà de cet enjeu, le mobile offre également des perspectives fortes en proposant un canal relationnel et interactif avec les clients et l’acquisition de nouveaux contacts. Il permet d’enrichir l’offre proposée par les annonceurs, entre autres dans leurs dispositifs événementiels (lancement d’offres, promotion produit).

Le mobile constitue un canal complémentaire avec le web vers lequel il peut drainer de l’audience qualifiée sur des périodes très ciblées.

Le déploiement de PageEX™ sur les supports mobiles est une première réponse à cet objectif et fait du catalogue destiné à l’impression le premier point de contact digital entre un annonceur et son client. Déjà opérationnel sur le web depuis un an, PageEX™ permet aux annonceurs de s’engager sur la voie du futur catalogue interactif et personnalisé, afin de cibler les attentes des consommateurs et d’utiliser au mieux l’ensemble des leviers propres aux smartphones : alertes promo, liste d’achats avec géolocalisation des magasins, consultation des montants ticket cumulés sur les cartes de fidélité et d’autres services qu’il reste à inventer.

Le e-catalogue PageEX™, complément idéal du site e-commerce des annonceurs

Dès qu’un e-catalogue est réalisé avec PageEX™, il est immédiatement disponible sur iPhone et sur iPad. L’application reprend les mêmes options de navigation que celles du site web : fonctionnalités de recherche cross catalogues, « liste de course » (ou panier), etc. Tout est fait pour transformer la consultation en acte d’achat et fait de l’e-catalogue PageEX™ un complément indissociable des sites de vente en ligne.

Plus intuitif qu’une navigation sur un site d’e-commerce, car reprenant les codes traditionnels du catalogue papier, l’e-catalogue PageEX™ répond parfaitement aux nouveaux usages catalogues des consommateurs, ces derniers préférant consulter le e-catalogue d’un annonceur plutôt que son site e-commerce traditionnel : ils y retrouvent la même richesse d’informations et la même facilité de navigation qu’avec les catalogues imprimés, auxquels ils restent attachés.
Tous les catalogues thématiques, promotionnels et annuels mis en ligne sont consultables dans une interface unique et agréable.
Les internautes et les mobinautes peuvent naviguer rapidement et efficacement entre les différents e-catalogues par mots clés ou en croisant les catégories qui les intéressent. Un simple clic sur l’image du produit les conduit directement vers les pages concernées. Une fois le produit trouvé dans le catalogue, il n’y a plus qu’à l’ajouter dans le panier.

Une solution industrielle et entièrement dynamique

Un e-catalogue PageEX™ se différencie de tout ce qui existe actuellement sur le marché. Plus qu’un simple catalogue “tourne page” présent sur de nombreux sites annonceurs, l’e-catalogue PageEX™ est un véritable site web et en tire tous ses avantages :

  •  La mise en œuvre d’un PageEX™ est automatique et ne prend qu’une minute à partir de toute version catalogue réalisée sur la plateforme PageOnDemand.com ;
  •  Pour chacun des produits, le référencement naturel (Search Engine Optimization) est amélioré et le e-catalogue devient générateur de trafic sur le site annonceur ;
  •  À tout moment il est possible de faire des mises à jour de produit, de prix et des offres promotionnelles. L’e-catalogue correspond mieux à la réalité de l’offre et s’adapte plus facilement aux mises à jour du site e-commerce ;
  •  La liste de course ou le panier gère les mécaniques des prix (discount, fidélité, etc.) ou renvoie automatiquement à la bonne référence du site e-commerce ;
  •  Les liens générés par PageEX™ sont bi-directionnels avec le site e-commerce de l’annonceur, il lui est donc très facile de passer de l’un à l’autre sans changer d’univers ;
  •  Les recherches peuvent s’effectuer sur l’ensemble des catalogues disponibles, par produit ou par catégorie ;
  •  Les fiches produits sont actives et il peut leur être adjoint des contenus spécifiques à la publication web (URL, images, vidéos, sons, 3D) ;
  •  Il est possible de générer une clé unique par internaute et d’étudier le comportement clients : consultations catalogues par visite à la page, au produit consulté, par devis, par commande, etc.
Preuve du succès de la plateforme, 1 000 e-catalogues PageEX™ ont été créés en moins d’un an. La solution d’ores et déjà sur iPhone et sur iPad sera prochainement disponible sur Androïd. 

Source : (http://www.presse-citron.net/)

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