vendredi 3 décembre 2010

Canada : embraces Cyber Monday (ENG) / englobe Cyber Monday (FR)

Canadian specialty clothing chain Le Chateau says it was a coincidence that it launched its e-commerce website on “Cyber Monday.”

But other Canadian retailers say they deliberately used the U.S. marketing slogan to pitch some of their best online deals to customers on Monday.

The loyalty rewards program Air Miles held its “biggest ever” 10-times-the-points sale for orders placed online, while department store retailer Sears Canada was offering some one-day specials on electronics on its website.

Both called the specials Cyber Monday deals, leveraging a U.S. shopping phenomenon that like Black Friday is gradually making its way north of the border.

The term was coined five years ago to describe the Monday after American Thanksgiving, when U.S. consumers go back to work and shop for gifts from their computers.

With the Canadian dollar near parity with the U.S. greenback, consumer interest in cross-border shopping is rising, prompting some Canadian retailers to adopt U.S.-style pricing strategies and advertising.

“This is the first year we've called it Cyber Monday,” said Vince Power, a spokesperson for Sears Canada. “Just like last Friday was the first time we'd called it Black Friday. I think these are two terms that are getting into the Canadian consumers' psyche.”

Sears hedged its bets by also using the better known phrase “Boxing Day” on its Black Friday flyer to convey the depth of the deals on offer.

Boxing Day is the day after Christmas when Canadian retailers traditionally offer deeply discounted “door crasher” specials and extended store hours much like those seen south of the border over the Thanksgiving weekend.

Staff at the Amazon Swansea fulfilment centre process orders as they prepare for what is expected to be their busiest Christmas on record on November 26, 2010 in Swansea, Wales.

Le Chateau's senior vice-president of sales and marketing said the decision to launch its e-commerce site on the same day as Cyber Monday was a happy coincidence.

“We've been working on it for some time,” said Franco Rocchi. “We planned to launch for the holidays.
The website will help make more Canadians aware of Le Chateau's new sophisticated image while building its brand south of the border, the company said.

Le Chateau, which operates 230 stores across Canada and two in the U.S., said being online has become as important to retailing as being in the best mall.

“Can you imagine not being in the Toronto Eaton Centre?” Rocchi said. 

“You have to be there.”

Online shopping remains a small percentage of total retail sales, though it's grown from 8 per cent of all retail sales in 2007 to 11 per cent now, said Gayle Duncan, vice-president of marketing for Maritz Research.
But an online presence can drive a lot of sales to your stores because the web is where a lot of consumers start their search, she said.

“Cyber Monday is still in infancy in Canada,” said Nicky Mezo, head of marketing for PayPal Canada.

Fifty-eight per cent of Canadians surveyed by the online payment network don't know what Cyber Monday is. 

On the other hand, 15 per cent of Canadians surveyed said they planned to shop online on Cyber Monday, the poll found.

Cyber Monday sales tend to be skewed toward consumer electronics purchases, Mezo said.
Several multinational online-only retailers, such as newegg.ca, tigerdirect.ca and dell.ca, have some “very aggressive” deals on offer, Mezo said.

This year, some American retailers jumped the gun making their online offers available on Black Friday, the same day brick and mortar stores put out their best deals, or even earlier.

Overall, U.S. retail sales rose only slightly on Black Friday, according to consulting firm ShopperTrak.
The average shopper spent $365.34 over Black Friday weekend, a 6.4 per cent increase over last year, according to the National Retail Federation, the main U.S. retail trade group.

But online sales rose as much as 16 per cent as sales of luxury goods and jewellery pushed the average order to $191, according to a research report for investment firm UBS. 

Source : (http://www.thestar.com/)

Le E-commerce, du mondial au local !!

Les sites Amazon, eBay ou encore Google procédent à des rachats de groupes afin de se rapprocher de leurs clients. 

Des grands noms de la vente en ligne veulent développer leur présence dans la vie quotidienne des consommateurs. Le site de ventes de livres et de DVD Amazon vient d'acquérir LivingSocial, qui propose des promotions sur des restaurants et des événements, pour 175 millions de dollars. La start-up pourrait générer un revenu de 500 millions de dollars l'an prochain. 


Ces derniers temps, Amazon a multiplié les acquisitions avec le rachat du site spécialisé dans la puériculture Diapers.com ou encore le site de mode BuyVIP.com et un autre site de promotion Woot.com.

Au même moment le portail eBay annonce la prise de contrôle pour 75 millions de dollars de Milo, un moteur de recherche aux Etats-Unis qui fournit des informations sur les stocks et prix dans les magasins à proximité du consommateur. Un moyen pour le géant américain de créer un lien avec les petits magasins.

Amazon, eBay et le géant Google : Visent  les moteurs et les sites locaux pour se rapprocher beaucoup plus des leurs clients


Il y a quelques jours, les médias américains rapportaient que Google serait prêt à débourser six milliards de dollars pour le rachat de Groupon, spécialisé dans le regroupement de consommateurs pour obtenir des réductions, et rival de LivingSocial.

Source : (http://www.lefigaro.fr/)


E-commerce américain : une journée à un milliard

Le lundi 29 novembre a été un jour historique pour l’e-commerce aux Etats-Unis. En moins de 24 heures, les Américains ont dépensé en ligne plus d’un milliard de dollars, a annoncé le site ComScore.








Cette folie dépensière a eu lieu à l’occasion du «Cyber Monday», le «Cyber lundi». Comme chaque premier lundi après Thanksgiving, (fête au lendemain de laquelle a lieu le «Black Friday», jour de frénésie d'achats qui ouvre la saison des courses de Noël), les commerçants ont offert sur leurs produits d’importantes réductions disponibles uniquement en ligne. Et il faut croire que ces ristournes étaient convaincantes puisque, au total, c’est 1.028 milliards de dollars (758.400 million d'euros) qu’ont dépensé les Américains, soit 16% de plus qu’en 2009, selon ComScore:
«Cette hausse de 16% par rapport à l’année précédente a eu lieu notamment grâce à l’augmentation des dépenses par client —jusqu’à 12%- tandis que le nombre de clients lors du Cyber Monday a connu une petite hausse de 4%, soit 9 millions de clients»
Face à ces chiffres records, Gian Fulgoni, le co-fondateur de ComScore tente cependant de garder la tête froide.
«En même temps, il est important de relever qu'une partie de la solidité des dépenses de consommation est presque certainement le résultat des promotions et décotes plus marquées que d'habitude à ce stade précoce de la saison. Donc, même si nous prévoyons qu'il y aura d'autres journées à un milliard de dollars dans les jours qui viennent (...), seul le temps dira si les dépenses en ligne des consommateurs resteront au niveau élevé qu'on a vu jusqu'à présent».
Pour cette édition 2010 du Cyber Monday, de nouvelles tendances sont apparues chez les clients-internautes. Par exemple, ils sont de plus en plus nombreux à utiliser leur smartphone pour faire des achats en ligne. Selon l’AFP, la société de paiement en ligne Paypal a recensé une hausse de 292% des paiements via appareils mobiles (tablettes, téléphones...) par rapport à 2009.

En tout cas, les gens de l’e-commerce se frottent les mains, comme e-Bay qui a déjà prévu de doubler son chiffre d’affaires en 2010. Autres grands bénéficiaires de ce Cyber Monday aux chiffres records: les bijoutiers, dont les ventes ont augmenté de 24,3% comparé à 2009. Une crise? Quelle crise?

Source : (http://www.slate.fr/)

Moteur de recherche : Google pénalise les sites d'e-commerce critiqués par leurs utilisateurs

La mauvaise publicité sur Internet comme coup de pouce au référencement sur Google. C’est ce qu’un article du New York Times a mis en évidence. Google réagit et met à jour ses algorithmes, se posant en arbitre de la qualité de l’expérience utilisateur proposée par les e-commerçants.






Bien mal acquis ne profite jamais. Google a en quelque sorte décidé de transposer ce proverbe dans ses algorithmes de recherche. C'est un article du New York Times qui est à l'origine de ce nouveau changement dans la politique de référencement de Google.

Dans cet article, le journal soulignait que les nombreux messages de mécontentement à l'égard du site de vente de lunettes sur Internet DecorMyEyes.com avaient eu pour effet d'améliorer son référencement sur Google. Ces critiques tendaient donc à accroître les ventes.

DecorMyEyes.com développait son trafic grâce aux commentaires dénonçant ses méthodes

En somme, une mauvaise publicité est un vecteur de trafic. En effet, pour déterminer le classement (ou ranking), Google tient notamment compte du nombre de liens pointant vers un site.
Le moteur de recherche tente de remédier à cette situation consistant à profiter ou encourager la mauvaise publicité pour soigner son référencement.

Sur son blog, Google assure ainsi que mal se comporter est, et sera toujours, mauvais pour le référencement dans ses résultats de recherche. Dans la pratique, le moteur a donc modifié ses algorithmes afin de baisser le ranking de DecorMyEyes.com. Mais pas seulement.

Selon Google, ce sont plusieurs centaines de sites de vente qui sont également impactés par cette modification. Des sites pour lesquels le moteur estime qu'ils fournissent une expérience utilisateur extrêmement pauvre.

Google détermine la qualité de l'expérience utilisateur selon des critères secrets

Mais comment Google parvient-il précisément à évaluer la qualité de l'expérience utilisateur offerte par un site ? Comme à chaque fois qu'il est question de ses algorithmes, le moteur se montre peu disert.

Selon Google, ce secret est indispensable. Il se justifie par la nécessité de ne pas fournir d'informations exploitables par des propriétaires de sites pour améliorer indûment leur référencement.

Si la motivation affichée par Google de lutter contre les sites aux pratiques peu recommandables peut paraître louable, rien ne permet d'apprécier si elle bénéficie réellement aux internautes.

L'omniprésence de Google pousse vers plus de transparence 

L'opacité entretenue par le moteur, et son omniprésence dans la recherche, lui permettent potentiellement de porter atteinte à la concurrence et/ou de favoriser sa propre activité de vente de publicité ou ses services. Cela fait d'ailleurs l'objet d'une enquête de la Commission Européenne.

Mais une modification des algorithmes peut aussi avoir des effets de bord ignorés par Google. Or en raison du secret des règles de référencement appliquées par le moteur, il est complexe voire impossible pour un site de démontrer la responsabilité de Google dans un déréférencement.

Pour lutter contre les sites dont l'expérience utilisateur serait mauvaise, Google tient-il compte des plaintes et critiques mises en ligne par les internautes ? Si oui, peut-il distinguer les commentaires fondés de ceux qui ne le sont pas ?

Une campagne de dénigrement orchestrée sur Internet pourrait-elle avoir pour conséquence de déréférencer de manière injustifiée un site ? Seul Google pourrait répondre. Mais ses solutions algorithmiques sont un secret industriel.

Source : (http://www.zdnet.fr/)


Vietnam : L'application de l'e-commerce est renforcée

Le forum sur l'e-commerce eComBiz 2010 a eu lieu le 1er décembre à Hô Chi Minh-Ville.

"À cette occasion, nous pouvons jeter un regard rétrospectif sur le développement du commerce électronique depuis 10 ans afin de déterminer les orientations de développement durant la période 2011-2015, au service de la croissance des exportations nationales". Telles sont les déclarations de Nguyên Thanh Hung, chef du Département de l'e-commerce et de l'informatique, du ministère de l'Industrie et du Commerce (MIC).

 
Ce sont les années 2003 et 2005 qui ont réellement marqué le début de l'essor de l'e-commerce au Vietnam, lequel a connu par la suite un nouveau développement à partir de 2007 en suite de l'entrée du Vietnam à l'Organisation mondiale du commerce (OMC).

Selon le MIC, si le taux d'entreprises ayant accès à Internet n'était que de moins de 25% en 2004, il était en revanche passé à 98% en 2009. Nombre d'entre elles sont intéressées par des applications fondamentales en matière d'e-commerce telles que logiciel de courrier électronique (86% l'utilisent dans leurs activités), plus précisément 96% chez les grandes entreprises et 78% chez les petites et moyennes entreprises. Par ailleurs, 40% des entreprises nationales possèdent leurs propres sites web.

Rien à Hô Chi Minh-Ville, le taux d'entreprises reliées à Internet est de 92%, dont 97% chez les grandes entreprises et 87% chez les PME. Celles qui pratiquent plus spécifiquement l'e-commerce sont 71%, avec 81% chez les entreprises d'envergure et 61% chez les PME, 32% de ces entreprises possèdent un site de commerce électronique.

Selon une enquête réalisée par le ministère de l'Industrie et du Commerce, le taux d'entreprises réalisant des transactions d'e-commerce est passé de 5% à 6% en 2003 à 15% en 2010. De même, en 2003, le pays comptait seulement une université dispensant une formation en ce domaine, puis 30 en 2005 et 80 aujourd'hui. L'immatriculation des véhicules motorisés, les formalités fiscales et douanières sont désormais effectuées en ligne dans plusieurs provinces et villes du pays.

Selon Nguyên Thành Hung, les deux premiers obstacles au développement de l'e-commerce sont, en premier lieu, les pratiques d'achat du consommateur qui ne sont pas habitués aux achats en ligne, et, en deuxième lieu, des connaissances limitées en la manière ou un manque de confiance, conduisant à limiter le commerce électronique à de petites transactions. Néanmoins, Nguyên Chiên Thang, chef du bureau de l'e-commerce de la banque SHB, considère que "l'e-commerce au Vietnam va se développer rapidement car la majorité de la population est jeune, et les jeunes ont une approche plus naturelle et plus aisée des technologies de l'information".

Source : (http://lecourrier.vnagency.com.vn/)

Meninx technologies met en place le premier Datacenter privé en Tunisie

Meninx technologies, la filiale de Meninx Holding dédiée aux technologies de l’information et de la communication, annonce l’entrée en phase finale de l’implantation du premier Datacenter privé de Tunisie.

 
Selon M. Sami J. Chapoutot, Chef de projet NTIC, ce Datacenter, situé à la région d’Enfidha, est entré dans sa deuxième et dernière phase et sera prêt à l’exploitation début 2011.

Le projet s’étale sur 3000 mètres carré dont 1000 mètres carré ont été réservés pour les salles abritant les serveurs. Un Meninx technologies DataCenter qui sera en mesure d’héberger les serveurs des grandes entreprises tunisiennes, rassure le Chef du projet.

Le site permet en outre l’hébergement de solution SaaS (Software as a Service) et des solutions de sauvegarde externalisée.

Ce Datacenter satisfait aux exigences de la norme TIA942 (« Telecommunications Infrastructure Standard for Data Centers  942 »), ajoute  M.Chapoutot, et remplit les exigences propres à la spécification, la réalisation et l’équipement de centres de données ou de salles de calcul garantissant les meilleurs niveaux de conformité et de disponibilité.

A propos de Meninx Holding :

Meninx Holding  est la société de gestion de participations et d’investissement du groupe Béchir Tamarziste. Acteur prépondérant du secteur bancaire tunisien, le groupe est aussi actif dans les secteurs du négoce et de l’industrie.

Le groupe est également présent sur l’immobilier locatif, industriel, commercial et d’habitation. Site de secours et de repli permettant l’implantation des plans de continuité et la mise en place de plateformes de réplication et/ou de sauvegarde/restauration.

Source : (http://tunisiait.com/)

Maroc : Telecom, Orange met la main sur Meditel Maroc







Après son implantation en Egypte, au Sénégal, à Madagascar, au Kenya et dernièrement en Tunisie, Orange met la main sur le deuxième opérateur télécom au Maroc, Meditel.
 
C’est France Telecom qui vient d’annoncer le rachat de 40% du capital de l'opérateur télécoms marocain Meditel pour un montant de 640 millions d'euros.

Une acquisition qui sera portée à 49% du capital du deuxième opérateur marocain.

Source : (http://tunisiait.com/)

Tunisie : L9itou ou les dessous chics de la campagne LG

Saturés de pub, les jeunes Tunisiens sont de plus en plus difficiles à appréhender par les marques. Mais voilà qu’une enseigne coréenne finit par lancer fièrement : «l9itou». Voici enfin révélés les dessous chics d’un buzz vraiment pas téléphoné, et qui a fait mouche auprès des jeunes ciblés.







Entre son annonce officielle effectuée par la chaine de télévision Nessma Tv et l’immense buzz médiatique dont elle jouit depuis une semaine sur le web (boosté en grande partie par toute une myriade de blogueurs) la campagne de Teasing intitulée « L9itout » de la marque LG semble avoir touché le public tunisien, en majorité composée de jeunes. 


Initiée par l’agence de communication Point Carré avec l’assistance de l’agence BeeWeb, cette campagne qui a pour toile de fond l’autocollant « i love LG », est notamment mise en avant par une nouvelle équipe de communication LG Tunisie. Ramzi Ferchichi, directeur marketing de la marque sud-coréenne, nous en dit plus.

«Ce teasing interactif semble être l’une des meilleure solutions pour attirer une catégorie de public cible bien déterminée : les jeunes, qui sont de plus en plus difficiles à appréhender. Toute cette opération basée sur des informations masquées, (en laissant une certaine neutralité entre le groupe et la marque), puis le Reveal lui-même via l’autocollant i Love Lg a permis d’attiser la curiosité des jeunes qui en sont arrivés à livrer leur propre enquête en posant des question notamment sur le mur de la page officielle sur Facebook, du groupe L9itou. On sentait vraiment leur implication». 

Le responsable souligne néanmoins que le cœur de cette action concerne essentiellement ce sticker, qui, une fois l’étape de l’enquête terminée, amenait cette fois-ci les différents participants à le coller dans des endroits insolites afin de remporter un prix (constitué de smartphones LG Cookie Fresh) «On a réussi à donner une vie à ce sticker. Ce dernier ne constitue pas une finalité en soi mais il s’agit d’un excellent moyen d’être à la fois créatif et novateur pour ces jeunes qui postent tous les jours leur photo sur le site officiel de iLove Lg. De plus, c’est un excellent moyen pour promouvoir notre marque, tout en jouant le rôle de cocooning du site! » relève Ramzi. Il ajoute que durant les prochains jours, plusieurs autres surprises seront au rendez-vous, surtout pour le public hors du Grand Tunis. «La distribution de stickers sur terrains se limite pour le moment à la capitale. Mais prochainement, le public pourra y participer dans les quatre coins de la Tunisie ! » conclut notre homme avec enthousiasme.

Mais en attendant, si vous voulez vous inscrire et tenter de remporter un smartphone LG, il suffit de vous rendre sur le sympathique site officiel d’iLove Lg où vous trouverez entre autre l’agenda relatif aux différentes dates et lieux de distribution des autocollants.

Source : (http://tekiano.com/)

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