vendredi 12 novembre 2010

Le Sénat veut taxer la publicité en ligne, mais aussi l'e-commerce

Le rapporteur au Sénat de la loi de finances, Philippe Marini (UMP), a fait adopter en commission deux amendements créant de nouvelles taxes sur les activités en ligne. La première vise la publicité, tandis que la seconde, beaucoup moins commentée mais beaucoup plus lourde, viserait toute activité e-commerce entre entreprises.


Le Sénateur Philippe Marini, qui a déjà proposé d'ajouter les ordinateurs et tablettes tactiles à l'assiette de la redevance TV, a fait adopter deux amendements en Commission des finances du Sénat qui visent à ajouter de nouvelles taxes aux transactions en ligne.

La première, qui a beaucoup fait débat, vise la publicité en ligne. C'est la fameuse taxe Google revisitée, qui viserait à taxer les annonceurs français à hauteur de 1 % de leurs investissements en publicité sur Internet. En imposant les acheteurs plutôt que les vendeurs, les sénateurs espèrent capter une partie des recettes publicitaires qui échappent actuellement au fisc français, parce qu'elles bénéficient à des entreprises situées hors de France. 

Nous avons déjà dit tout le mal que nous pensions de cette idée issue du rapport Zelnik, qui fait peser sur les annonceurs français l'incapacité des pouvoirs publics à aider les entreprises françaises à rivaliser avec les Google, Yahoo, Facebook et autres Microsoft, qui captent une part importante du marché publicitaire international sur Internet. C'est la double peine, qui s'attaque aux symptômes plutôt qu'à la maladie. La solution préconisée est d'autant plus absurde qu'elle ne devrait rapporter selon Marini que 10 à 20 millions d'euros (soit environ le budget de l'Hadopi), alors qu'elle va obliger l'administration fiscale à mettre en oeuvre des contrôles nouveaux qui coûteront encore plus chers.

Mais Philippe Marini a fait adopter en Commission un autre amendement, beaucoup moins commenté, qui s'attaque cette fois au e-commerce entre entreprises. Cet amendement vise à instituer "à compter du 1er janvier 2011 une taxe sur les achats de services de commerce électronique (...) assise sur le montant des dépenses engagées pour l'achat de toute fourniture de biens ou services effectué au moyen d'une communication électronique".

Cette taxe de 0,5 % serait due par toute entreprise dont le chiffre d'affaires excède 460 000 euros par an. Selon Philippe Marini, elle vise à "la réduction des niches fiscales, la lutte contre la fraude et l'adaptation des assiettes fiscales aux évolutions technologiques". Il explique que son amendement "repose sur l'idée que les transactions en ligne constituent une assiette fiscale "moderne" dans un contexte de vieillissement accéléré de l'assiette de la plupart des impôts". Mais là encore, en s'attaquant à l'acheteur plutôt qu'au vendeur, la proposition ferme les yeux sur les causes de l'insuccès (relatif) des entreprises d'e-commerce françaises par rapport à leurs homologues étrangères. 

Le rapporteur au Sénat de la loi de finances 2011 ne semble voir l'e-commerce que sous l'angle de la fuite des recettes fiscales vers l'étranger, et de l'économie réalisée par les entreprises, mais pas comme une chance pour la croissance. Il est révélateur que dans les motifs de l'amendement, M. Marini indique que "cette assiette 'moderne' peut légitimement supporter une imposition supplémentaire, car elle supporte des charges moins importantes que celles acquittées par les entreprises traditionnelles". Il s'agit de taxer les économies, et pas d'encourager les investissements grâce aux économies réalisées par l'immatérialité de certaines activités.

Selon Philippe Marini, cette taxe là pourrait rapporter de 400 à 500 millions d'euros. Soit beaucoup plus que la taxation de la publicité en ligne.

Source : (http://www.numerama.com/)

Lavazza investit sur le Web social

La marque de café a entrepris le renforcement de sa présence sur le Web social, avec l'agence We are social.





Dialoguer avec ses clients est primordial pour les marques. La marque Lavazza en a bien conscience, et suit cette tendance en renforçant sa stratégie de présence sur le Web communautaire. Pour cela, elle a confié à l'agence We are Social le soin de mettre en place des actions concrètes. Dans cette démarche, l'agence a organisé le week-end du 6 novembre une campagne d’influence digitale auprès d’une trentaine de blogueurs gastronomie, art de vivre, mode et design afin de présenter le système à capsule espresso de la marque, "A modo mio" ( “À ma façon”, en français).

Lavazza : Une image de marque qui ne mourra jamais


Les blogueurs ont ainsi été invités à déguster de nombreux mets italiens à l’atelier de la chef napolitaine Alba Pezone, ainsi que des espresso et autres cappuccino réalisés “A modo mio” par Fabrizio Cresto, un expert du Centre de formation Lavazza à Turin. Celui-ci leur a également dispensé un cours sur le sujet, expliquant l’art du café depuis la torréfaction jusqu’à la dégustation.

Source : (http://www.ecommercemag.fr/)

LG Swift passe en 2.1 au Royaume Uni

LG Optimus Swift (GT540) commercialisé en Tunisie en version 1.6, passe en version 2.1 et les mises à jour commencent au Royaume Uni. La mise à jour va être faite via un utilitaire de support LG Mobile téléchargeable en ligne.

Sur le site de UK une procédure trés détaillée de comment faire la mise à jour est mise à disposition en ligne sur le site de LG avec le lien de téléchargement, etc.




On s’attend à ce que la mise à jour se propage rapidemment, nous vous communiquerons tous les détails pour ce qu’il en est de la mise à jour en Tunisie.

Lien vers le site de LG UK pour la mise à jour est ici. A ne pas utiliser en Tunisie en attendant la mise à jour officielle : Mise à jour sur LG UK 

Source : (http://www.tunandroid.com/)

Lecteurs QR Code Blackberry Torch 9800

Tout nouveau, tout chaud, le Blackberry Torch (Blackberry 9800) est mien depuis peu. RIP Bold 9000, qui fut un très bon smartphone. 

Après avoir fait le principal (carte SIM, connexion boîte mail pro et perso, synchro avec le desktop et mise à jour des annuaires, agenda, etc..), je suis passé dans la foulée à ma deuxième priorité : installer un lecteur de QR codes.
 



Ô rage ! Ô désespoir ! aucun de mes readers de code 2D préférés n'est encore disponible pour le tout dernier modèle de Blackberry. Il est vrai qu'avec seulement 8% de part de marché en juillet dernier, RIM n'est pas la plateforme préférée des européens (UK, Allemagne, France, Italie, Espagne). Mais bon, Blackberry reste cependant un acteur incontournable du marché.
 
Je dois donc abandonner (temporairement j'espère) i-Nigma, NeoReader, Lynkee
 
Petit tour sur le Blackberry App World où je saisis dans la fenêtre de recherche "QR CODE".
 
3 lecteurs me sont proposés, tous gratuits : 

- QR code Pro Scanner
- BeeTag
 
Je connais les deux derniers (que je n'utilisais qu'occasionnellement) et découvre QR code Pro Scanner.
 
Le premier essai de "QR code Pro Scanner" est de suite concluant avec des codes QR non personnalisés. Rapide, efficace, ouverture directe du navigateur, etc.. Pas besoin de prendre une photo, la lecture est automatique. Ce lecteur fait le job avec le dernier né Blackberry. Essayons-le maintenant avec des QRcodes personnalisés. Ici encore, ma première impression est très bonne, je peux en effet décoder des QRcodes que je n'arrivais pas à lire avec le BB 9000 Bold (ex : QR code Japan NEKO, QR code Superman, etc..). Cette performance (nouvelle pour moi) doit également être liée au capteur optique de 5M.pixels qui équipe le Torch. 

Blackberry torch 9800

 
Malheureusement, et comme dirait Vincent : "trop de perso tue le QR", je n'arrive toujours pas à lire le code Distribeo, pourtant décodable avec iPhone et Android.
 
Malgré quelques autres tests infructueux, j'adopte ce lecteur et le place de suite dans l'annuaire des lecteurs de QRcodes et autres codes 2D

Source : (http://www.qrdresscode.com/)

France : 100 sites-clés de l'e-commerce ‎

Bientôt 60 millions de cyberconsommateurs? Acheter en ligne est désormais à la portée de tous, et plus aucun secteur n'échappe au phénomène. Challenges a fait une sélection parmi les 70.000 sites marchands français.

 




Les grèves, ni la pénurie d'essence, ni les jours fériés n'arrêteront la déferlante de l'e-commerce. Tous les mois, 300.000 personnes découvrent l'achat sur Internet. Cette année encore, les marchands de la toile vont battre des records. "On devrait atteindre les 32 milliards d'euros de chiffre d'affaires", pronostique Marc Lolivier, délégué général de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad). L'équivalent des recettes annuelles d'un groupe comme Auchan! En 2011, la fièvre acheteuse ne retombera pas. "L'an prochain, la croissance sera de 20%. Et autant en 2012", affirme Delphine David, de l'institut Xerfi. Il n'y a pas d'équivalent dans l'économie française.

C'est la ruée vers l'or! Plus un domaine n'y échappe. Deux sites marchands se créent toutes les heures. On en compte plus de 70.000 à ce jour en France. Faire ses courses derrière son ordinateur est à la portée de tous. Selon le Crédoc, près des trois quarts des Français ont commandé sur le Net au cours des douze derniers mois. Pour acheter leurs lunettes de vue, recevoir des légumes bio, commander les pneus de leur voiture, réaliser le meuble de leurs rêves, configurer leur future maison, essayer virtuellement un jean, troquer leur tondeuse contre une machine à laver, négocier à plusieurs l'achat d'un téléviseur...


Comment expliquer un tel engouement? Avant tout, le taux d'équipement des Français ne cesse de s'améliorer: 60% des foyers ont accès à internet. Et la très grande majorité d'entre eux surfent en haut débit.
"A la différence des Italiens, les Français ont tous une carte bancaire, ce qui facilite les paiements en ligne", souligne Marc Schillaci, le président et fondateur d'Oxatis, une plateforme qui accueille 600 sites d'e-commerce. Sans compter des réseaux de distribution fiables hérités de la vente par correspondance. Même La Poste a fait sa mue: emballage isotherme pour aliments frais, enveloppe sécurisée pour transport de bijoux, livraison dans tous les bureaux avec So Colissimo.

Du coup, l'offre sur la toile explose. Internet n'est plus le terrain de jeu uniquement des géants du textile, de l'alimentaire et du high-tech. Chacun peut s'offrir une vitrine. Le petit commerçant de quartier élargit d'un coup sa clientèle à tout le territoire et au-delà. La boutique Univers Broderie installée dans la rue marchande de Fécamp (Seine-Maritime) livre aujourd'hui ses fils et ses toiles jusqu'aux Etats-Unis et au Japon. Philippe David, ex-cadre d'Auchan, a d'abord créé un site de perles, puis de tricots, de chaussettes, d'essuie-glaces et enfin de rasoirs qui est devenu la référence en matière d'épilation pour les femmes. GDbôbalcons est spécialisé dans les fleurs artificielles. Son site propose plus de 800 références. Mais la notoriété et la confiance ne se gagnent pas en un jour. "Quand un e-commerçant se lance, un visiteur sur 1.000 seulement passe commande", relativise Marc Schillaci.

Pourtant, les uns après les autres, les freins à l'achat en ligne sautent. De nouvelles technologies permettent de mieux apprécier les produits: 3 D, webcams, films de synthèse deviennent des outils courants pour vendre. Grâce à la "réalité augmentée", le site Achatdesign.com propose d'intégrer un meuble sur une photo de son intérieur avant de se décider. Plus spectaculaire encore, la marque textile Bonobo a mis au point une cabine d'essayage virtuelle sur son site Letopdelete.com: à partir d'une photo ou avec sa webcam, l'internaute peut, de chez lui, "revêtir" toute la collection de cette enseigne. Tout aussi innovant: des opticiens en ligne ont développé un logiciel de mesure d'écart pupillaire afin de permettre l'essai virtuel de lunettes.

La révolution mobile


Internet bouscule les règles de la distribution. Les acteurs historiques de l'e-commerce créent des galeries commerciales géantes: au-delà des produits high-tech, Pixmania est maintenant présent dans la bagagerie, la puériculture, la jardinerie. "Au deuxième semestre 2011, nous allons investir le marché de l'occasion", révèle Jean-Emile Rosenblum, cofondateur du groupe. Tous repoussent leurs murs virtuels: eBay, Amazon, Fnac. La première market place française, Rue du Commerce, a vu ses ventes s'envoler de 130% en 2009. De nouvelles pratiques émergent: les internautes se regroupent pour acheter moins cher sur Groupon; ils louent leurs effets personnels pour quelques jours sur Zilok ; ils organisent des ventes événementielles entre eux sur Vente Amis; ils participent à la création de nouvelles collections textiles sur BrandAlley.

La montée en puissance de l'internet mobile annonce d'autres révolutions. Le m-commerce est déjà une réalité. A tout moment et où qu'il soit, le consommateur peut acheter ses billets d'avion sur l'agence en ligne Opodo, un canapé en cuir sur le site de La Redoute, ou encore une veste sur le nouveau portail de Zara. Quelque 8% des Français l'ont déjà fait avec leur smartphone. Lors de son 10e anniversaire, eBay France a annoncé que le m-commerce sera "la priorité" des dix prochaines années. L'an dernier, le groupe a réalisé 600 millions de dollars de ventes par ce canal dans le monde, il vise 1,5 milliard cette année. En photographiant simplement le code-barres d'un produit, l'internaute voit apparaître instantanément toute l'offre d'eBay: neuf et occasion. Le client est enfin roi.

Source : (http://hightech.challenges.fr/)

 

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